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Posté le 14 octobre 2024 dans

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Dans Never Let Go, j’ai été captivé par l’atmosphère visuelle et la tension palpable qu’Alexandre Aja parvient à instaurer. Cependant, le film souffre de longueurs qui diluent l’intrigue, et la bande-son, avec ses passages de flûte maladroits, m’a parfois fait sortir de l’histoire. Entre schizophrénie familiale et horreur psychologique, le film explore des thèmes fascinants, mais peine à pleinement les exploiter, laissant un sentiment d’inachevé. Un film à voir, mais avec des attentes modérées.

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Posté le 11 octobre 2024 dans

Le Chat Potté : Une quête époustouflante et riche en réflexion

Le Chat Potté : Une quête époustouflante et riche en réflexion

Dans ma critique de Le Chat Potté : La Dernière Quête, je vous invite à découvrir un film d’animation qui allie habilement humour, aventure et profondeur émotionnelle. On y suit le Chat Potté, lancé dans une quête époustouflante pour regagner ses vies perdues. Face à des antagonistes marquants et une réflexion sur la mortalité, ce film offre une réinvention audacieuse du genre. Je vous partage mes impressions sur cette aventure visuellement impressionnante et riche en symbolisme.

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Posté le 11 octobre 2024 dans

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

J’ai toujours été sceptique vis-à-vis des films de Tim Burton, et « Beetlejuice Beetlejuice » n’a pas échappé à la règle. Ce retour tant attendu de l’iconique fantôme m’a laissé perplexe, avec un scénario embrouillé et une nostalgie qui peine à masquer la perte d’originalité de l’univers. Ce film me fait remettre en question si l’univers de Beetlejuice n’était pas simplement mieux ancré dans les années 80, une époque où son charme excentrique avait tout son sens.

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Posté le 5 octobre 2024 dans

Furiosa : Une quête de vengeance au cœur de la barbarie humaine

Furiosa : Une quête de vengeance au cœur de la barbarie humaine

Dans Furiosa, George Miller nous replonge dans l’univers post-apocalyptique de Mad Max avec une préquelle captivante qui explore les origines du personnage. À travers des scènes d’action spectaculaires et des décors époustouflants, le film se distingue par son approche plus introspective et sa réflexion sur la survie dans un monde brutal. Anya Taylor-Joy incarne une Furiosa complexe, animée par une quête de justice, tout en conservant une humanité palpable au cœur de la barbarie.

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Posté le 3 septembre 2024 dans

Trap : Quand Shyamalan tente l’originalité mais s’enlise

Trap : Quand Shyamalan tente l’originalité mais s’enlise

J’ai récemment visionné « Trap », le dernier film de M. Night Shyamalan, un réalisateur avec qui j’entretiens une relation amour-haine. Bien que j’apprécie l’originalité de la première partie du film, où l’on suit le point de vue du tueur, la fin m’a déçu par son exagération et son jeu d’acteur surjoué. Malgré tout, « Trap » reste pour moi l’un des meilleurs films de Shyamalan, ce qui en dit long sur ma relation sado-masochiste avec son œuvre.

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Posté le 25 août 2024 dans

Longlegs : Une esthétique réussie, mais un fond creux

Longlegs : Une esthétique réussie, mais un fond creux

Dans Longlegs, Nicolas Cage livre une performance marquante dans un thriller visuellement réussi, mais l’intrigue tombe dans le piège de la superficialité. Bien que l’atmosphère soit oppressante et l’esthétique soignée, le film manque cruellement d’originalité et se perd dans des tropes surnaturels sans jamais expliquer la motivation des actes macabres. En fin de compte, Longlegs reste un patchwork de références sans réelle identité, laissant les spectateurs sur leur faim.

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Posté le 10 août 2024 dans

L’Humanité au cœur de l’apocalypse dans « A Quiet Place: Day One »

L’Humanité au cœur de l’apocalypse dans « A Quiet Place: Day One »

Dans ma critique de A Quiet Place: Day One, je partage mon appréciation pour ce préquel qui, au-delà de son décor apocalyptique réussi, choisit de raconter une histoire plus intimiste. Suivre Samira, une femme en fin de vie, dans sa quête émotionnelle apporte une profondeur inattendue. Le lien unique avec son chat Frodo, bien que surprenant, ajoute une touche de tendresse, tout en soulevant des questions sur la crédibilité de cette dynamique. Un film qui m’a vraiment touché.

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Posté le 25 juin 2024 dans

The Watchers : Un film qui peine à trouver son identité

The Watchers : Un film qui peine à trouver son identité

Dans ma critique de The Watchers, je décortique les faiblesses de ce film réalisé par Ishana Night Shyamalan. Malgré une ambiance visuelle soignée, le film souffre de personnages plats, d’un scénario trop explicatif, et d’une tension mal exploitée. Pour une première réalisation, Shyamalan montre des éclairs de talent, mais peine à échapper à l’ombre de son père, offrant un film plus frustrant qu’efficace.

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Posté le 16 juin 2024 dans

Kingdom of the Planet of the Apes : L’Héritage de César revisitée

Kingdom of the Planet of the Apes : L’Héritage de César revisitée

Dans ma critique de Kingdom of the Planet of the Apes, je vous invite à découvrir comment ce nouvel opus réussit à renouer avec l’héritage de la franchise tout en apportant une touche moderne. Entre la révélation que Mae et Nova ne font qu’une et l’évolution des thèmes abordés, le film offre un pont captivant entre le passé et l’avenir de cet univers. Malgré quelques longueurs, c’est une aventure visuellement et émotionnellement riche qui mérite votre attention.

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Posté le 8 juin 2024 dans

Sting (2024) : Quand le drame familial rencontre la terreur en huis-clos

Sting (2024) : Quand le drame familial rencontre la terreur en huis-clos

Ce huis-clos oppressant se déroule dans un vieux bâtiment de New York où une jeune fille, Charlotte, découvre que son araignée de compagnie a muté en un monstre géant et carnivore. Le film explore habilement le drame familial tout en offrant une terreur monstrueuse. Bien que prévisible, « Sting » est mieux réalisé que de nombreux autres films du genre, tels que « Abigail » et les dernières productions de James Wan.

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