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Posté le 17 octobre 2025 dans

Alien: Earth : La déchéance d’une saga mythique signée Disney

Alien: Earth : La déchéance d’une saga mythique signée Disney

Avec Alien: Earth, Disney signe la pire trahison jamais infligée à la saga Alien. Loin de l’héritage de Scott et Cameron, la série transforme le Xénomorphe en animal de compagnie, bafoue la continuité et s’enlise dans un patchwork incohérent de pseudo-révélations. Sous couvert d’“élargir la mythologie”, elle livre un objet prétentieux, aseptisé et fondamentalement idiot. Une parodie grotesque qui illustre la manière dont Disney, en prédatrice cannibale, détruit nos mythes pour les remodeler à son image.

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Posté le 9 octobre 2025 dans

The Conjuring: The Last Rites – Le chant funèbre d’une franchise mécanique

The Conjuring: The Last Rites – Le chant funèbre d’une franchise mécanique

Avec The Conjuring: The Last Rites (2025), la saga horrifique s’achève sur une note bien terne. Là où le premier film de James Wan avait su imposer une tension efficace, cette conclusion ne propose plus qu’une mécanique répétitive : jumpscares prévisibles, acteurs artificiels, scénario convenu et imagerie catholique lourde, frôlant parfois la propagande. Même l’atmosphère lugubre des vieilles maisons hantées ne suffit pas à sauver un film où le mystère s’évanouit dans le grotesque. Pour moi, le « Conjuring-verse » est définitivement terminé.

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Posté le 29 septembre 2025 dans

Sinners, quand la musique exorcise l’histoire américaine

Sinners, quand la musique exorcise l’histoire américaine

Avec Sinners (2025), le réalisateur de Black Panther signe un film hybride où l’horreur, le blues et l’histoire afro-américaine se rencontrent dans le Mississippi des années 30. Michael B. Jordan y incarne deux frères pris entre rêve d’ascension, ségrégation et forces occultes. Plus qu’un film d’épouvante, Sinners est une réécriture mythique qui célèbre la mémoire noire et propose une vision singulière du cinéma contemporain.

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Posté le 17 septembre 2025 dans

The Bad Guys 2 : quand le grand méchant loup devient irrésistiblement bon

The Bad Guys 2 : quand le grand méchant loup devient irrésistiblement bon

The Bad Guys 2 confirme tout le talent de DreamWorks avec une suite qui égale l’original. Entre humour rafraîchissant, personnages toujours aussi attachants et animation éclatante, le film jongle habilement entre action et réflexion sur la rédemption. Sans jamais sombrer dans le moralisme, il divertit autant qu’il fait réfléchir, et s’impose comme une aventure aussi jubilatoire que le premier opus.

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Posté le 15 septembre 2025 dans

Weapons : la boîte mystère qui cache le vide

Weapons : la boîte mystère qui cache le vide

Weapons (2025) démarre fort avec une ambiance inquiétante et un montage intriguant, mais s’essouffle vite : une révélation trop simpliste, des invraisemblances grossières et un titre mal choisi en font une œuvre ambitieuse mais inaboutie. Un film surestimé, plus fascinant par ses promesses que par sa véritable exécution.

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Posté le 15 septembre 2025 dans

Nobody 2 : l’auto-parodie d’un défouloir sans âme

Nobody 2 : l’auto-parodie d’un défouloir sans âme

Avec ce second opus, la franchise Nobody abandonne la tension et l’ironie qui faisaient la force du premier film pour sombrer dans la surenchère et l’auto-parodie assumée. Si l’on accepte de le voir comme une comédie violente destinée à servir d’exutoire à un public en quête de défoulement, le spectacle peut arracher quelques sourires. Mais derrière l’orgie de clichés et la violence désincarnée, on ne retrouve qu’un divertissement creux, plus proche d’une partie de jeu vidéo que d’un véritable récit de cinéma.

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Posté le 9 août 2025 dans

House of Sand and Fog : un drame sombre qui étouffe l’espérance

House of Sand and Fog : un drame sombre qui étouffe l’espérance

House of Sand and Fog est un drame intense et oppressant, où la noirceur domine et où la fatalité semble régner sur chaque décision. Porté par des interprétations d’une grande justesse, il captive par sa tension constante et sa mise en scène maîtrisée. Pourtant, sa musique symphonique appuyée, typique d’un cinéma qui a vieilli, alourdit parfois le propos. L’ensemble offre une œuvre puissante, mais qui étouffe toute lueur d’espoir, laissant peu de place à la lumière ou à la rédemption.

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Posté le 5 août 2025 dans

Warfare : un film immersif, une mission vaine

Warfare : un film immersif, une mission vaine

Film de guerre immersif signé William Mendoza, Warfare reconstitue le chaos de Ramadi à hauteur de soldat. Une mission vaine, un récit sans repères… jusqu’à une dernière scène bouleversante. Tout ça pour ça ? Oui, et c’est justement le propos.

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