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Posté le 8 juin 2024 dans

Sting (2024) : Quand le drame familial rencontre la terreur en huis-clos

Sting (2024) : Quand le drame familial rencontre la terreur en huis-clos

Ce huis-clos oppressant se déroule dans un vieux bâtiment de New York où une jeune fille, Charlotte, découvre que son araignée de compagnie a muté en un monstre géant et carnivore. Le film explore habilement le drame familial tout en offrant une terreur monstrueuse. Bien que prévisible, “Sting” est mieux réalisé que de nombreux autres films du genre, tels que “Abigail” et les dernières productions de James Wan.

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Posté le 6 juin 2024 dans

The First Omen : Un retour aux origines qui signe la fin d’une époque

The First Omen : Un retour aux origines qui signe la fin d’une époque

Dans ma critique de The First Omen (2024), je souligne comment ce préquel, bien qu’il explore avec originalité un complot orchestré par une faction radicale du Vatican pour amener l’Antéchrist dans notre monde, finit par servir d’épilogue à une franchise qui commence à montrer des signes de fatigue. Malgré une réalisation efficace et des thèmes intrigants, je pense qu’il est temps de laisser cette saga culte reposer en paix.

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Posté le 13 mai 2024 dans

Godzilla Minus One : Une révision critique du mythe kaiju

Godzilla Minus One : Une révision critique du mythe kaiju

En tant que sceptique des films kaiju, “Godzilla Minus One” a capturé mon attention grâce à son approche novatrice et son profond respect pour la culture japonaise. Couronné pour ses effets visuels, ce film explore avec finesse les thèmes de la résilience et de la tradition face aux ravages, offrant des performances émouvantes et des effets spéciaux spectaculaires. Il transcende ainsi le genre traditionnel, rendant cette œuvre accessible et captivante pour un public plus large.

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Posté le 8 mai 2024 dans

Barbarian : Quand l’horreur perd son chemin

Barbarian : Quand l’horreur perd son chemin

Dans ma récente critique de “Barbarian”, je souligne comment ce film d’horreur, initialement captivant avec une mise en scène habile et une tension croissante, perd malheureusement de son intensité après un début prometteur. La complexité initiale cède la place à un scénario prévisible et moins cohérent, transformant ce qui aurait pu être une révélation dans le genre en une déception relative.

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Posté le 7 mai 2024 dans

Abigail : Quand les vampires perdent de leur mordant

Abigail : Quand les vampires perdent de leur mordant

Dans ma récente critique, “Abigail” s’est révélé être un film peu mémorable, malgré une promesse initiale captivante. Le scénario se transforme rapidement en un simple jeu de pouvoir, rappelant les trames superficielles d’une télé-réalité. La conclusion, particulièrement illogique et dépourvue d’originalité, m’a poussé à abaisser drastiquement ma note, passant ce film de moyen à franchement mauvais.

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Posté le 24 avril 2024 dans

Plongée dans l’abysse de “Under the Skin”

Plongée dans l’abysse de “Under the Skin”

Dans ma dernière critique, j’explore “Under the Skin”, un film souvent qualifié de sous-estimé. Malgré son esthétique captivante, le film peine à maintenir l’intérêt avec son rythme lent et son style prédominant sur la substance. Scarlett Johansson y est intrigante, mais le scénario ne lui permet pas de briller pleinement. C’est un film expérimental difficile à recommander, tentant mais frustrant.

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Posté le 23 avril 2024 dans

Late Night with the Devil : Quand la télévision devient cauchemar

Late Night with the Devil : Quand la télévision devient cauchemar

Dans ma dernière critique, je me penche sur “Late Night with the Devil”, un film qui mêle drame psychologique et horreur, centré sur une émission de télévision qui vire au cauchemar. Le film excelle visuellement avec un style rétro des années 70 et une transition audacieuse du couleur au noir et blanc, mais malgré des thèmes prometteurs comme la manipulation médiatique et les

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Posté le 4 avril 2024 dans

Sisu : Lorsque l’absurde surpasse la simple fantaisie

Sisu : Lorsque l’absurde surpasse la simple fantaisie

Dans ma critique du film “Sisu : de l’or et du sang”, je souligne l’extrême invraisemblance du scénario qui pousse le protagoniste dans des situations ridicules, conférant au film une allure de parodie. Malgré un début prometteur avec un hommage aux westerns, le film dérive vers l’absurde, perdant en crédibilité et en impact émotionnel. Une expérience cinématographique qui, hélas, laisse beaucoup à désirer.

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