Posté le 17 décembre 2025 dans
Avec The Name of the Rose, Jean-Jacques Annaud signe un huis clos médiéval oppressant où l’enquête devient un outil critique contre l’obscurantisme religieux. Porté par un Sean Connery au sommet de sa maturité, le film transforme l’abbaye en véritable personnage principal. Une œuvre qui a bien vieilli et qui interroge encore aujourd’hui le rapport entre savoir, pouvoir et peur.
Lire la suite ...Posté le 11 décembre 2024 dans
Dans “37°2 le matin”, Jean-Jacques Beineix explore avec brio l’intensité de l’amour fou à travers Betty et Zorg, deux âmes en quête de liberté dans une société rigide. Entre esthétisme flamboyant, musique envoûtante et portrait psychologique saisissant, ce film culte des années 80 m’a marqué par sa profondeur et ses limites. À travers cette critique, je revisite cette œuvre poignante et questionne ses représentations, tout en célébrant son impact intemporel.
Lire la suite ...Posté le 17 février 2024 dans
Cette critique revient sur « Neuf semaines et demi », un film emblématique des années 80 qui peine pourtant à offrir la profondeur attendue. Malgré une esthétique marquée et l’alchimie entre ses interprètes, le récit demeure superficiel et déséquilibré. Un voyage nostalgique qui ne suffit pas à sauver un film qui a mal vieilli.
Lire la suite ...