Posté le 20 novembre 2024 dans
J’avais de grands espoirs pour ‘Smile 2’, mais cette suite déçoit en s’enlisant dans des clichés horrifiques et des facilités scénaristiques. Malgré quelques bonnes idées visuelles, le film manque de l’originalité et du punch qui avaient fait la force du premier opus, le laissant sans émotion ni frissons véritables. Bref, un sourire bien trop forcé qui ne m’a pas convaincu.
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Posté le 11 novembre 2024 dans
Dans « MadS », David Moreau mise tout sur un plan-séquence audacieux et des effets visuels saisissants, mais le film échoue à captiver au-delà de sa prouesse technique. L’intrigue se perd dans des longueurs interminables, des personnages sans profondeur et une cacophonie sonore qui épuise plus qu’elle n’effraie. Pire encore, la conclusion bâclée laisse un goût amer d’inachevé, abandonnant le spectateur sans réponses ni satisfaction. Une déception pour un projet pourtant prometteur sur le papier.
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Posté le 23 octobre 2024 dans
Dans The Substance, je vous emmène dans un univers cinématographique dérangeant et captivant où l’horreur viscérale se mêle à une réflexion profonde sur l’obsession de la jeunesse et de la perfection. À travers les performances audacieuses de Demi Moore et Margaret Qualley, ce film de Coralie Fargeat bouscule les attentes et nous plonge dans une critique acérée de la société moderne, où la quête de l’apparence parfaite mène à l’autodestruction.
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Posté le 16 octobre 2024 dans
Dans Alien: Romulus, je retrouve une franchise qui m’a marqué, mais qui s’égare dans un excès de fan service et d’artifices commerciaux. Si le film brille techniquement et réussit à créer une atmosphère immersive au départ, il finit par perdre son âme dans des rebondissements exagérés et des personnages clichés. Au final, ce reboot semble plus destiné à une nouvelle génération grand public qu’à rendre un véritable hommage à l’héritage de la saga.
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Posté le 14 octobre 2024 dans
Dans Never Let Go, j’ai été captivé par l’atmosphère visuelle et la tension palpable qu’Alexandre Aja parvient à instaurer. Cependant, le film souffre de longueurs qui diluent l’intrigue, et la bande-son, avec ses passages de flûte maladroits, m’a parfois fait sortir de l’histoire. Entre schizophrénie familiale et horreur psychologique, le film explore des thèmes fascinants, mais peine à pleinement les exploiter, laissant un sentiment d’inachevé. Un film à voir, mais avec des attentes modérées.
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