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Posté le 23 octobre 2024 dans

The Substance : L’obsession de la perfection à son paroxysme

The Substance : L’obsession de la perfection à son paroxysme

Dans The Substance, je vous emmène dans un univers cinématographique dérangeant et captivant où l’horreur viscérale se mêle à une réflexion profonde sur l’obsession de la jeunesse et de la perfection. À travers les performances audacieuses de Demi Moore et Margaret Qualley, ce film de Coralie Fargeat bouscule les attentes et nous plonge dans une critique acérée de la société moderne, où la quête de l’apparence parfaite mène à l’autodestruction.

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Posté le 16 octobre 2024 dans

Alien Romulus : Une suite sans âme pour une génération grand public

Alien Romulus : Une suite sans âme pour une génération grand public

Dans Alien: Romulus, je retrouve une franchise qui m’a marqué, mais qui s’égare dans un excès de fan service et d’artifices commerciaux. Si le film brille techniquement et réussit à créer une atmosphère immersive au départ, il finit par perdre son âme dans des rebondissements exagérés et des personnages clichés. Au final, ce reboot semble plus destiné à une nouvelle génération grand public qu’à rendre un véritable hommage à l’héritage de la saga.

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Posté le 14 octobre 2024 dans

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Dans Never Let Go, j’ai été captivé par l’atmosphère visuelle et la tension palpable qu’Alexandre Aja parvient à instaurer. Cependant, le film souffre de longueurs qui diluent l’intrigue, et la bande-son, avec ses passages de flûte maladroits, m’a parfois fait sortir de l’histoire. Entre schizophrénie familiale et horreur psychologique, le film explore des thèmes fascinants, mais peine à pleinement les exploiter, laissant un sentiment d’inachevé. Un film à voir, mais avec des attentes modérées.

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Posté le 11 octobre 2024 dans

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

J’ai toujours été sceptique vis-à-vis des films de Tim Burton, et “Beetlejuice Beetlejuice” n’a pas échappé à la règle. Ce retour tant attendu de l’iconique fantôme m’a laissé perplexe, avec un scénario embrouillé et une nostalgie qui peine à masquer la perte d’originalité de l’univers. Ce film me fait remettre en question si l’univers de Beetlejuice n’était pas simplement mieux ancré dans les années 80, une époque où son charme excentrique avait tout son sens.

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Posté le 25 août 2024 dans

Longlegs : Une esthétique réussie, mais un fond creux

Longlegs : Une esthétique réussie, mais un fond creux

Dans Longlegs, Nicolas Cage livre une performance marquante dans un thriller visuellement réussi, mais l’intrigue tombe dans le piège de la superficialité. Bien que l’atmosphère soit oppressante et l’esthétique soignée, le film manque cruellement d’originalité et se perd dans des tropes surnaturels sans jamais expliquer la motivation des actes macabres. En fin de compte, Longlegs reste un patchwork de références sans réelle identité, laissant les spectateurs sur leur faim.

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Posté le 25 juin 2024 dans

The Watchers : Un film qui peine à trouver son identité

The Watchers : Un film qui peine à trouver son identité

Avec The Watchers, Ishana Night Shyamalan propose un conte horrifique ambitieux mais maladroit. Entre folklore celtique et huis clos anxiogène, le film peine à maintenir sa tension. Une œuvre prometteuse sur le plan visuel, mais freinée par une écriture trop explicative.

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Posté le 8 juin 2024 dans

Sting : un drame familial enfermé dans un huis clos d’horreur

Sting : un drame familial enfermé dans un huis clos d’horreur

Avec Sting, Kiah Roache-Turner propose un film de créature qui mêle drame familial et huis clos d’horreur dans un immeuble new-yorkais oppressant. Si le film se montre efficace dans son exécution et porté par une jeune actrice convaincante, il demeure prisonnier de conventions trop prévisibles. Une œuvre honnête, tendue par moments, mais qui n’ose jamais réellement sortir de son cadre balisé.

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Posté le 13 mai 2024 dans

Godzilla Minus One : Une révision critique du mythe kaiju

Godzilla Minus One : Une révision critique du mythe kaiju

Avec Godzilla Minus One, le mythe du kaiju retrouve une profondeur politique et historique trop souvent évacuée par ses adaptations récentes. En replongeant Godzilla dans le Japon d’après-guerre, le film redonne au monstre sa fonction de traumatisme collectif. Une œuvre sobre et intelligente qui dépasse largement le simple spectacle.

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