Cauchemar aztèque
Pour ceux qui aiment la psychanalyse en politique:
Hier, j’ai rêvé qu’un nouveau temple aztèque dans le Mile End m’invitait à amener mon animal de compagnie préféré afin de célébrer un rituel. La «fête» consistait à ce que je transperce publiquement le cœur de ma chatte Jade avec le couteau sacré afin de démontrer mon amour pour elle et le respect des Québécois pour les traditions de leur religion. Mes attachés politiques avait des plumes oranges sur la tête et m’incitaient à procéder en chantant un cantique incompréhensible. Le grand prêtre, lui, me disait de faire confiance au processus, que j’allais retrouver Jade dans une prochaine vie d’amour et de bonheur. Finalement, je me suis sauvé avec ma chatte traumatisée en criant à tous que «nous avons qu’une seule vie à vivre… et que l’amour se retrouve dans l’hommage à la vie plutôt que dans l’espoir en la mort».
En conclusion, c’est quand même un peu freak d’en arriver à se citer soi-même à travers la source d’un de ses propres rêves. En tout cas, je suis allé la chercher loin cette phrase là.
Fanatique : Héros qui, pour le triomphe de ses préjugés, est prêt à faire le sacrifice de votre vie
– Albert Brie