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Posté par le 29 janvier 2008 dans Web 2.0

Mon blogue via Facebook

êtes-vous sur FacebooK ?

Un petit message ici pour vous annoncer la création d’une page Facebook… un groupe spécifiquement conçu pour vous mes chers lecteurs. En effet, plutôt que de vous offrir ici un formulaire de contact, j’ai trouvé cette solution plus interactive. Si bien que ce groupe servira à rapprocher mes lecteurs entre eux en agissant aussi comme une inscription à une liste de diffusion (que j’utiliserai avec parcimonie).

Alors :

  • si vous êtes déjà du nombre de mes connaissances,
  • que vous aimez consulter des blogues à caractère politique,
  • que vous voulez intégrer mes causes sociopolitiques (dans facebook)
  • ou que vous êtes intéressé à d’éventuels événements que je vous proposerai

Hé bien, ce groupe est pour vous.

Ah oui, j’oubliais… Facebook étant aussi un puissant outil de réseautage, j’ai donc installé dans mon blogue un petit plugin qui avertira automatiquement mes contacts Facebook de la diffusion de mes nouveaux articles. N’est-ce pas ici une formule moins invasive que l’utilisation systématique du courriel

Par la grâce de l’hypertexte et des échanges sur Facebook, et Twitter, l’effet « marabout-bout de ficelle-selle de cheval » joue à plein : le numérique constitue une matrice de découvertes inopinées et fortuites qui reprèsente le sel même de la culture. Internet provoque un effet boule de neige »
de David Lacombled

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3 Commentaires

  1. Les dix pièges à éviter sur Facebook

    Par Marie Amélie Putallaz, publié le 28/04/2009 18:24 – mis à jour le 28/04/2009 18:34

    Vous ne voulez pas que votre patron découvre les dernières photos de votre anniversaire bien arrosé? Vous en avez marre d’être inondé des mises à jour des histoires de coeur de votre petite cousine? Voici quelques astuces pour éviter de trébucher sur les pièges de Facebook…

    1. J’en ai assez de tous ces mails du type « Valérie vous invite à rejoindre le groupe Les fans de Casimir ». Ils polluent ma boîte mail!

    Les applications, demandes d’amis ou de groupes peuvent rapidement devenir envahissantes. Pour endiguer le flot des mails Facebook, rendez-vous sur Paramètres-> Compte -> Notification. Une longue liste vous permettra de dire si vous voulez bien recevoir les messages des applications, des photos de vous, etc. Choisissez « Activé » ou « Désactivé » pour chaque option.

    2. Il y a des photos de moi vraiment pas brillantes, sur Facebook…

    Vous ne pourrez pas retirer les photos de vous qui ont été proposées par d’autres internautes. En revanche, vous pouvez éviter que n’importe qui les découvre en suivant votre nom. Rendez-vous sur: Paramètres-> Confidentialité -> Profil . Dans « Photos sur lesquelles vous êtes marqué » choisissez l’option qui vous paraît la plus adaptée. Pour restreindre au maximum, prenez « personnaliser » puis « moi uniquement ». Avec cette option, si l’un de vos amis veut voir vos photos, il ne trouvera qu’un dossier vide (mis à part les photos de profil que vous aurez vous-même soumises).
    Vous pouvez procéder de la même manière pour vos vidéos.

    Les paramètres de confidentialité sont d’ailleurs le premier élément à apprivoiser pour bien contrôler son profil Facebook. N’hésitez pas à visiter chaque petit réglage. Vous pourrez par exemple préciser que vous ne voulez pas que votre patron ait accès à vos changements de statut grâce à la case « Excepté ces personnes ».

    Si une photo particulièrement gênante traîne encore, vous pouvez toujours essayer de demander le retrait directement à Facebook, en cliquant sur « signaler », au bas de la photo incriminée.

    3. Et comment je gère les gens dont je ne veux PAS entendre parler ?

    En les bloquant. L’internaute bloqué ne pourra par exemple plus vous trouver via une recherche sur Facebook, voir votre profil ou écrire sur votre mur. Bref, le gêneur devrait sortir de votre vie facebookienne après cela.
    Pour bloquer quelqu’un, rendez-vous dans les paramètres de confidentialité (encore une fois) et entrez le pseudonyme de l’indésirable dans la case appropriée, au bas de l’écran.

    4. C’est un peu pénible, les amis qui me sautent dessus par chat chaque fois que je fais un passage éclair sur Facebook

    Passez hors ligne! Tout au fond, à droite, vous avez un petit bouton avec un point vert ou rouge. Changez sa couleur en rouge pour vous déconnecter. Re-connectez vous de la même manière.
    Les dix pièges à éviter sur Facebook

    Facebook

    5. Quelle plaie, ces applications… J’en ai de partout, et je ne sais pas comment m’en débarrasser.

    Allez dans: Paramètres -> Applications et faites votre ménage. Vos flux gagneront en lisibilité. Beaucoup d’applications vous proposent également des réglages plus fins – mais les descriptifs ne sont pas toujours très explicites et l’efficacité n’est pas toujours au rendez-vous.

    6. Je veux bien être disponible pour les amis que je choisis, mais je ne veux pas que tout le monde puisse savoir que j’ai un profil.

    Dans le menu Paramètre -> Confidentialité -> Recherche, vous pourrez choisir si vous voulez ou non apparaître lorsque l’on vous recherche, et ce que vous voulez bien montrer de vous à ce moment-là.
    Si vous n’aimez pas l’idée d’avoir votre tête partout sur le Web, vous pouvez par exemple cacher votre photo de profil. Si quelqu’un fait une recherche sur vous, il ne saura pas à quoi vous ressemblez.

    7. Je n’aime pas l’idée que Facebook se serve de mes données pour ses pubs

    Vos données sont enregistrées quoi que vous fassiez, mais vous pouvez éviter de trop alimenter les « publicités sociales », générées selon vos goûts et ceux de vos amis. Allez dans Paramètre -> Confidentialité -> Actualités et mur et cliquez sur l’onglet Publicités sociales. Vous pourrez ainsi choisir de ne pas apparaître dans les publicités sociales de vos amis. Si vous ne faites pas spécifiquement cette demande, alors Facebook peut utiliser vos informations pour ces pubs.

    8. Je préférerais que personne ne me trouve sur Facebook – je veux pouvoir choisir avec qui je suis ami, en ne me dévoilant qu’à un petit nombre de personnes.

    Modifiez un peu votre nom, utilisez votre second prénom ou adoptez un pseudonyme. Eric peut ainsi devenir Herr Ric, et Sophie adopter le surnom Soph’.
    Inconvénient: c’est beaucoup plus délicat d’accepter des contacts professionnels avec ce type de nom… Une option qui devrait être réservée à ceux qui sont certains de ne jamais agrandir leur cercle d’amis Facebook.

    9. Je veux claquer la porte de Facebook. Comment être sûr de ne rien laisser derrière moi?
    Dois-je vraiment quitter Facebook, si je vais manquer à François H.?

    Facebook

    Dois-je vraiment quitter Facebook, si je vais manquer à François H.?

    Selon l’auteur du livre « Bienvenue sur Facebook » Claire Germouty, le site pourrait garder vos données personnelles pendant deux ans à compter du moment de votre désinscription. Si vous souhaitez disparaîte le plus possible, pensez à vider vos photos. Vous pouvez également modifier toutes fos informations, du nom à la profession en passant par les centres d’intérêt. La désactivation d’un compte se fait via le panneau Paramètres-> Compte -> Désactiver le compte.

    10. C’est super-compliqué tout ça! Je ne sais pas si je vais m’en souvenir. En plus, les pages changent souvent…

    « Allez sur Facebook comme vous allez dans le métro », conseille encore l’auteur de « Bienvenue sur Facebook ». Dans la philosophie, dites-vous que vous avez tout intérêt à considérer votre espace Facebook comme un lieu public… et vous éviterez bien des inconvénients!

  2. Être ou ne pas être sur Facebook?
    par Stéphane Laporte, collaboration spéciale
    La Presse

    Je n’y suis pas. Devrais-je y être? Je ne sais pas. Tout le monde y est. Même Barack Obama. Mon idole. Votre idole. Sur le Facebook de Barack, on apprend que ses Interests sont le basket-ball, l’écriture et passer du temps avec les kids. Que ses films préférés sont Le Parrain et Vol au-dessus d’un nid de coucou. Comme moi. Et que son émission de télé préférée est le bulletin des sports. Comme moi.

    On pourrait sûrement être amis. Mais il en a déjà 3 630 470 répertoriés. Pas sûr qu’il aurait le temps de venir regarder mes photos des Fêtes.

    N’empêche, il faut vivre avec son temps. Si Obama est sur Facebook, c’est parce qu’il faut être sur Facebook. Le changement passe par là. J’y vais.

    http://www.facebook.com, j’y suis. Mon nom… ça va. Mon adresse courriel… ça va. Ma date de naissance… ça va. Ma situation amoureuse… O.K. En couple. Intéressé par…? Hommes? Femmes? C’est toujours là que mon enthousiasme à me joindre à la grande communauté Facebook commence à s’estomper. Quand j’ai l’impression de m’inscrire à une agence de rencontres.

    Et je bloque toujours sur la case suivante. Je recherche: Amitiés? Rencontres? Une relation? Réseau professionnel?

    Amitiés? Non, je ne recherche pas d’amis. En tout cas, pas sur l’internet. J’en ai déjà. Pas beaucoup. Mais assez. Assez pour ne pas avoir le temps de m’occuper d’eux à mon goût. De les voir autant que je voudrais. Et là, je chercherais à m’en trouver d’autres virtuels? Ce serait un affront à mes amis bien réels.

    Je sais, l’une des raisons d’être de Facebook, c’est de retrouver ses anciens camarades de classe. C’est la version web d’Avis de recherche avec Gaston L’Heureux. On reprend contact avec le p’tit Talbot ou le grand Langlois. Mais pourquoi, voulez-vous bien me le dire? Si le p’tit Talbot ou le grand Langlois ne font plus partie de mon existence, c’est parce qu’ils n’ont plus à le faire. Si c’était «amis que vent emporte, et il ventait devant ma porte», pourquoi voudrais-je qu’un cyclone me les ramène?

    L’amitié ne se renoue pas par un clic. L’amitié se renoue par le destin. Le destin qui rapproche et qui sépare. Malheureusement, le destin n’aime pas qu’on le force. C’est pour ça qu’il n’est pas sur Facebook.

    À moins que vous ne vous inscriviez sur Facebook dans l’espoir de retrouver quelqu’un en particulier. Alors là, Facebook peut devenir l’instrument du destin, votre Claire Lamarche personnelle, et vous arranger des retrouvailles avec l’ami tant espéré. Dans mon cas, tous les vieux amis auxquels je tenais, je sais où les trouver. Ils sont encore dans mon coeur.

    Rencontres?

    Ça, c’est le côté Lovers de Facebook. C’est la nouvelle discothèque. Au lieu de chercher de nouvelles rencontres dans les bars, on se connecte et on écrit sur les murs des nouveaux venus. On s’envoie des verres virtuels, des câlins virtuels, des contraceptifs virtuels (ce sont les contraceptifs qui fonctionnent le mieux). Le problème avec cette nouvelle drague, c’est qu’on se heurte à des murs, justement. Et on ne voit jamais l’intérieur. C’est pareil dans les bars, me direz-vous. Vous avez bien raison. Le bar, comme le web, est un faux endroit. Il faudra amener nos rencontres dans la vie pour savoir ce qu’elles valent vraiment. Alors pourquoi ne pas les faire dans la vie, en partant? On gagne du temps.

    Tout ça pour dire que je ne veux pas rencontrer. Prochaine option…

    Une relation?

    Encore bien moins. J’en ai déjà une. Je suis comblé.

    Réseau professionnel?

    Ça, ça fait 2009. Se créer un réseau professionnel. Big time. D’un contact à l’autre, devenir copain avec Bill Gates ou Steven Spielberg, c’est bon pour le C.V. Malheureusement, je n’ai pas le temps. J’ai trop d’ouvrage pour me créer un réseau professionnel.

    Je ne sais pas quelle case cocher. Obama n’a pas répondu à cette question non plus. Mais lui, c’est t’ivident, il recherche des votes, des supporteurs. C’est pour ça qu’il est sur Facebook. Comme je n’ai pas l’intention de devenir président des États-Unis ou maire de Huntingdon, qu’est-ce que j’irais faire là?

    Le jour où Facebook ajoutera dans ses choix: rien, je ne recherche rien, ça me fera plaisir d’en faire partie. Et de me lier avec d’autres gens qui ne recherchent rien. D’ici là, je demeure dans l’ancien temps. Sans profil sur Facebook.

    Je sais que bien des gens sont sur Facebook pour être en contact avec la petite gang de vrais amis qu’ils ont déjà. Pour les tenir informés de leur vécu. Pour leur dire ce qu’ils ont fait hier, ce qu’ils feront demain. À ceux-là, j’aimerais leur faire découvrir une invention encore plus géniale que Facebook. Elle vous permet d’entrer en contact avec l’ami, de lui poser des questions, de lui raconter vos expériences et de recevoir ses réponses, ses réactions et ses conseils instantanément. Vous pouvez même entendre sa voix. Ça s’appelle le téléphone.

  3. Bonjour

    Je vous écris pour vous signaler que j’ai ajouté votre blogue à l’aggrégateur Opinions Canada:

    http://www.opinionscanada.net

    J’espère que ça vous convient.

    Désolée d’avoir spamé votre blogue!

    Suzanne

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