Blogue
Je suis élu conseiller du district de DeLorimier
Lire, ici, l’article associé à cette première page du journal, Le Plateau
Mon résultat final: 48,12%. Je suis donc officiellement élu en tant que conseiller d’arrondissement dans le district de DeLorimier;
… et par le fait même, je rejoins la formidable équipe des 14 conseillers Projet Montréal! Bravo à tous les militants, bénévoles et candidats pour l’investissement dans notre projet urbain.
Merci beaucoup à tous pour le support et les félicitations… j’apprécie grandement vos nombreux commentaires sur mon babillard Facebook. Maintenant, je décante tranquillement en intégrant ma prochaine réalité de conseiller municipal. De retour bientôt, plus que jamais au travail pour une ville écologique.
Le lien entre l’étalement urbain et la question nationale au Québec
Au cours de l’actuelle élection municipale, plusieurs militants pour la défense de la langue française se seront manifestés. Or, du simple fait que Louise Harel est souverainiste et unilingue francophone, plusieurs de ceux-ci voteront aveuglément pour son parti. Pourtant, du questionnaire soumis par le MMF sur l’enjeu du français a Montréal, seul Richard Bergeron de Projet Montréal a répondu à l’appel!
Puis ensuite, au-delà des symboles et des prises de position tranchées tant souhaitées par les nationalistes francophones, il faudra comprendre que Projet Montréal est la seule formation municipale à vraiment se soucier de l’exode des familles en banlieue… voire du sort de la langue française à Montréal.
De la sorte, afin que tous les nationalistes québécois puissent comprendre leur intérêt pour le programme de Projet Montréal, je vous laisse ci-joint, un chapitre complet issu du dernier livre de Richard Bergeron: LES QUÉBÉCOIS AU VOLANT C’EST MORTEL
(suite…)
Les incorruptibles du Plateau Mont-Royal
Le dépliant présentant l’équipe de Projet Montréal dans le Plateau Mont-Royal en train de se faire distribuer dans toutes les adresses du quartier. Contribuez, vous aussi, à promouvoir l’annonce d’une administration propre au Plateau Mont-Royal, en cliquant, ci-dessous, sur le lien «Partager sur Facebook ».
La mise en valeur de l’Entrée maritime de Montréal
A priori, certains auront peut-être jugé cette pancarte de Projet Montréal moins pertinente que les trois autres thématiques de sa série (famille, tramway, développement durable). Pourtant, il n’en demeure pas moins que la mise en valeur de l’Entrée maritime de Montréal est un projet phare du programme de notre parti municipal.
La liberté, comme un devoir !
Ce soir, je n’ai vraiment pas le gout de faire du porte-à-porte pour mon élection. Mme Leblanc, Nelly Arcan, Pierre Falardeau…. disons que je suis quelque peu déprimé par l’onde de mortalité dans mon quartier… j’ai comme l’impression que notre mémoire collective s’éteint tranquillement. Alors, en cette soirée pluvieuse, je me décrète en deuil.
D’autant plus qu’en Pierre Falardeau, nous perdons une icône de liberté… et de résistance nationale. Falardeau, un homme libre qui n’avait pas honte de ses opinions. En effet, il est faux de prétendre que la liberté et l’indépendance puissent être disjointes et revendiquées l’une après l’autre. Car, la liberté commence par l’indépendance de la pensée.
Encore merci, Pierre, pour avoir repoussé les limites de notre liberté d’expression. Je poursuivrai notre lutte de liberté… comme un devoir de mémoire.
(suite…)
Je suis maintenant en campagne électorale! Me suivez-vous?
Bonjour à tous,
Je suis dorénavant en congé sans solde afin de m’immerger complètement dans, ce qui est à ce jour, la bataille de ma vie. En effet, si vous n’étiez pas déjà au courant, je suis candidat au poste de conseiller d’arrondissement pour Projet Montréal dans le district DeLorimier (le secteur Est du Plateau Mont-Royal). Dans les faits, cette élection m’anime depuis mon adolescence… et j’y travaille depuis plusieurs années.
(suite…)
L’écologie, bien sûr! Mais pas fatalement au prix de la démocratie
Montréal serait épargné du déluge de pancartes électorales municipales. Du moins, c’est ce qu’ont annoncé Union et Vision Montréal le mois dernier. De notre côté, à Projet Montréal, nous sommes perplexes. Si le concept d’une élection respectant davantage l’environnement visuel des citoyens est une évolution des mœurs démocratique, il ne faudrait pas pour autant tomber dans ce piège politique du maire Tremblay.
Car, ne soyons pas naïfs! Naturellement, les organisations politiques institutionnelles obéissent bien plus aux impératifs électoraux qu’à des principes de valeurs. Si bien que l’administration Tremblay aura certainement calculé son avantage à «éliminer l’affichage» (de ses adversaires). Et admettons-le ici, en plaidant pour «une campagne verte», la stratégie est malheureusement efficace.
(suite…)
Une guerre à finir (contre les mites alimentaires)
Comme pour ce qui est d’Azazel dans le film Fallen, il vaut mieux ignorer son nom sous peine d’avoir affaire à lui. Cependant, peut-être reconnaitrez-vous tout de même le parasite dont il en question. Je parle ici de la pyrale indienne de la farine.
Dans les faits, il s’agit d’un petit papillon apparemment anodin. Il n’est pas dangereux pour la santé physique… sauf peut-être pour la santé mentale (comme l’exprime si bien cet amusant article, on peut frôler la crise de nerfs).
À ses premières apparitions dans votre cuisine, vous penserez à des simples papillons de nuit égarés (le vol brouillon de ce petit papillon terne, voire, son insouciance du danger, tendent à suggérer qu’il est aveugle ou complètement stupide). Mais ce que vous ne savez pas, c’est qu’au moment où vous commencez à les voir, vous êtes depuis longtemps infesté par ses chenilles.
Alors, ce sera à votre tour d’être sur la ligne de front afin de faire reculer l’ennemi hors du territoire humain. Et croyez-moi, il est oh combien difficile de se débarrasser de la pyrale lorsqu’elle est entrée dans votre logement. Une fois qu’elle est installée avec armes, bagages et chenilles, elle squattera volontiers votre logement le restant de votre vie.
En effet, la pyrale est un parasite des plus tenaces à éliminer. Elle se reproduit à un rythme effréné et plus discrètement qu’elle n’y paraît.
Tout nouveau, tout neuf! Une nouvelle vidéo au sujet des mites alimentaires… avec de nouvelles informations à son sujet
Afin de mieux combattre l’ennemi, apprenons à le connaitre
Normalement, c’est dans les placards qu’elles élisent domicile et s’en débarrasser demande de la méthode et de la patience. Cela requiert également de prendre de nouvelles habitudes en matière de conservation d’aliments. Nous allons découvrir des moyens relativement simples et très efficaces pour venir à bout des mites alimentaires qui envahissent notre cuisine.
La pyrale indienne de la farine se nourrit d’une variété impressionnante d’aliments (céréales, lait en poudre, biscuits, farine, etc.). Elle serait particulièrement friande de figues et d’autres fruits séchés, de piments rouges séchés, de noix ou de chocolat qui en contient. Des larves s’en seraient même déjà prises à des pommes et des poires fraîches dans un entrepôt.
Moyens de prévention
Évitez de laisser la moulée pour chiens ou les graines pour oiseaux à la portée de ces insectes. Essayez de vérifier si les écureuils cachent des noix à l’intérieur. Il est préférable d’utiliser des contenants de plastique hermétiques ou en verre avec un couvercle muni d’une bande de caoutchouc pour conserver tous les aliments. Il faut bien les laver avant d’y insérer les aliments. Inspectez régulièrement le contenu du garde-manger, car ces insectes produisent beaucoup d’œufs et leur développement peut s’effectuer sur une courte période. De plus, la pyrale de la farine est attirée par les aliments moisis. Essuyez fréquemment les étagères et passez l’aspirateur. Inspectez l’arrière des bibliothèques, les contours des plafonds ou les fissures du placard pour repérer les cocons. Installez des moustiquaires pour éviter l’introduction des papillons et colmatez les fissures pour ne pas qu’elles abritent de cocons ou de miettes (dans le garde-manger).
Comment éradiquer définitivement la pyrale de votre cuisine ?
Un autre moyen très efficace de lutter contre la pyrale est le piège à phéromones. Ils peuvent durer jusqu’à six semaines et sont sans danger pour l’homme. Les pièges à phéromones se sont révélés très efficaces pour détecter la présence de cet insecte (ou pour vérifier s’il est toujours présent). Il s’agit d’une substance odorante émise par le papillon quand il cherche à s’accoupler. Les mâles sont ainsi attirés et pris au piège, car celui-ci est imprégné d’une sorte de colle. Subséquemment, les femelles éprouvent de la difficulté à être fécondées. Toutefois, puisque les femelles ne sont pas attirées par leur propre phéromone, soyez vigilant à tuer ces dernières (manuellement) afin d’augmenter votre taux d’efficacité. N’oubliez pas, une seule femelle fécondée et le cycle peut repartir.
Méthodes de contrôle
Lorsqu’on aperçoit un de ces papillons, il faut tout d’abord trouver le ou les foyers d’infestation. Il s’agit habituellement d’un sac qui n’a pas été utilisé récemment. On y découvre quelques chenilles ou de petits fils de soie mêlées ou non à des excréments. Si votre seuil de tolérance est dépassé, vous serez tentés de mettre les aliments infestés dans un sac à ordures et de les sortir rapidement de votre demeure pour vous en débarrasser. Il est toutefois préférable de les exposer à des températures extrêmes en les congelant pendant quelques jours ou en les cuisant au four afin d’être certains que ces insectes ne se retrouveront plus dans l’environnement. Parfois le problème sera réglé après cette étape, mais il faudra demeurer encore plus vigilant dans les jours et les semaines à venir au cas où l’infestation ne serait pas contrôlée. Dans certains cas, les aliments qui n’étaient que légèrement infestés peuvent être conservés si vous les exposez à ces températures extrêmes. Dans d’autres cas, une telle pratique est déconseillée, car la présence des insectes dans les aliments favoriserait la production de toxines dangereuses, produites par des champignons microscopiques, qui ne seraient pas détruites par la chaleur.
Il n’est jamais recommandé d’utiliser des pesticides sur des surfaces situées près des aliments. Il faut bien s’y connaître pour ne pas provoquer d’incidents fâcheux. L’emploi de la terre de diatomée sera plutôt préférable. En se frottant à cette poudre à base de silice, les chenilles égratigneront leur enveloppe externe et mourront par déshydratation.
Croyances populaires
Comme je l’explique dans cet article de mon blogue, la génération spontanée n’existe pas. Les insectes n’apparaissent jamais par magie dans des endroits mal entretenus. Qu’une larve (ou chenille) soit aperçue dans un pot de denrée alimentaire ou qu’un adulte vole dans une pièce, ils proviennent toujours, à l’origine, d’un œuf pondu par une femelle adulte. L’œuf est tellement petit qu’on ne le remarque pas; de plus, il n’aura pas nécessairement été pondu dans la demeure où il aura été trouvé.
Les chenilles, petites ou grandes, constituent toujours des insectes immatures. Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, elles se transforment bel et bien toutes en papillons (à moins qu’elles ne meurent avant).
Les gens pensent souvent qu’ils achètent des produits certifiés exempts d’insectes. Dans les faits, pour qu’une cargaison importée soit refusée, il faut, après en avoir inspecté minutieusement des échantillons, ne pas avoir observé plus d’un certain nombre de particules d’insectes. Ces dernières peuvent donc se retrouver à l’occasion dans nos dattes, nos épices ou dans notre farine sans que la situation ne soit exceptionnelle.
Soyez brave et bonne chance camarade. Que la force soit avec vous.
Une once de prévention vaut une livre de guérison
– Benjamin Franklin
Plein écran sur MarleneGelineauPayette.com
Aujourd’hui, je suis fier de vous présenter le photoblogue de Marlène Gélineau-Payette, un cinquième blogue issu de mon savoir-faire avec WordPress.
Marlène est une photographe professionnelle qui a du talent à revendre. En concordance avec sa démarche discrète, son objectif dévoile des angles uniques; ses sujets s’exposent ainsi naturellement. Débordant néanmoins d’une vivacité exceptionnelle, le regard de Marlène anime son environnement… elle donne pratiquement vie aux photos.
À l’image de sa subtile énergie, le style graphique de son blogue est ainsi sobre. Étant épuré de texte, les images crèvent l’écran… ses photographies parlent d’elle-même. Il va sans dire, son blogue est la vitrine de son travail professionnel.
Cependant, Marlène travaille aussi sur plusieurs projets personnels, un ouvrage qui ne se dévoilera qu’aux fils des années. Et comment dire… si les meilleurs spiritueux prennent plusieurs années à développer leur gout unique, n’est-ce pas ici, la preuve de la qualité de l’œuvre photographique de Marlène Gélineau-Payette.
Ouverture officielle de mon portfolio
Oyé oyé! J’ai pratiquement terminé ma section portfolio sur ce blogue. Quand j’y pense, si la page «portfolio» avait été l’une des premières créées sur ce blogue, il m’aura tout de même pris trois ans pour en achever sa présentation.
En fait, dans ce cas-ci, je ne devrais pas parler d’une page web, car mon portfolio s’avère plutôt un blogue en soi. Minimaliste, moderne et superindexé, la présentation de mes créations y gagnera sûrement un certain cachet. D’ailleurs, je me complais même à penser que les pros trouveront à l’envier.
Alors, en vous invitant à aller explorer mon parcours créatif, je demeure réceptif à d’éventuelles propositions contractuelles.
Derniers commentaires