Blogue
L’étude entomologique peut-elle cohabiter avec la métrosexualité ?
Je suis en beau fusil… l’un de mes colocs a jeté de notre congélateur un petit pot de médicament contenant l’une de mes expériences entomologiques. En effet, pour le commun des mortels, il est peut-être vrai qu’il n’est pas coutume de se servir du congélateur pour entreposer des cadavres d’insectes. Toutefois, l’utilité d’un congélateur étant de conserver des éléments (nourriture, batterie, coussin thérapeutique) au dessous du point de congélation, cet outil est donc aussi essentiel à tout entomologiste le moindrement sérieux. Formellement, non seulement la congélation est un moyen efficace pour expédier des spécimens (sans utiliser de poison), mais c’est aussi l’indispensable entrepôt avant d’épingler les insectes sur un étaloir. Et sincèrement, un hermétique petit pot d’insecte congelé dérangerait-il vraiment votre alimentation? Franchement, tout cela n’est qu’une question de perception psychologique… Regardons-y de plus près.
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La fondamentale irresponsabilité politique de l’ADQ
Je viens tout juste de lire la chronique du Journaliste Philippe Schnobb à propos des réactions blogosphériques sur le dernier projet du PQ (sur l’identité québécoise). Or, nous y découvrons que le blogue de David Chrétien (ADQ), sert de transmission directe à une « caricature » signée… « Pi ». Tiens, tiens, pouvons-nous y déduire que MisterP a repris du service… et que le blogueur David Chrétien et son parti cautionnent les fruits de son travail ? (tapez « Pierre Morin » dans Wikipédia pour vérifier). OK, je l’admets, il n’y a aucun scoop à révéler la flexibilité morale des opportunistes de l’ADQ; toutefois, j’attirerai votre attention sur la source originale de l’image.
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Habiter le Plateau et en être fier
Bon, suite à ma dernière montée de lait, je vais vous refiler un formidable texte de Guillaume Vaillancourt. Guillaume est un ancien journaliste de L’Aut’Journal, mais surtout, il est actuellement le coordonateur de Projet Montréal dans le Plateau. Ayant moi-même repris mes fonctions dans mon comité local de ce parti municipal, notre petite équipe a le vent dans les voiles. En effet, en nous réunissant trois lundi par mois, nous couvrons systématiquement le conseil d’arrondissement, en plus de nous offrir deux soirées d’organisation par mois (une soirée réunion + une soiré mobilisation). A ce rythme, si nous maintenons la cadence… nous gagerons beaucoup plus que notre arrondissement en 2009.
Habiter le Plateau et en être fier
par Guillaume Vaillancourt
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«Plateau bashing» dans la Cyberpresse… À la défense de mon quartier
Bien qu’ils se soient divorcés à ma naissance, mes parents m’ont donné un incommensurable cadeau en s’installant simultanément dans le Plateau Mont-Royal lors de mon 6e anniversaire (ma mère dans le Mile End et mon père dans le Petit Laurier). D’ailleurs, j’y habite toujours; et tant qu’à vivre en ville, je demeurerai fidèle à ce quartier… quartier que je considère littéralement comme une partie de moi-même.
Or, depuis quelques années, je me suis aperçu que certaines personnes du Québec ont développé une réelle animosité face au Plateau; du moins, à certaines perceptions évoquant mon quartier. Sincèrement, j’explique encore mal ce ressentiment, si ce n’est peut-être que certaines radiopoubelles fédéralistes tentent de nous diviser les uns contre autres. Il y a donc vraiment matière ici à plusieurs réflexions. D’ailleurs, si je peux arriver un jour à décrocher de mon blogue, je projette d’écrire un livre sur l’histoire socio-politique du Plateau Mont-Royal. Peu importe, En fin de semaine dernière, le Cyberpresse y est allé d’une série d’articles sur la rivalité de Montréal, Québec ville et les régions. Or, un article du journaliste Yves Boisvert, «banlieusard en tant qu’insecte», m’a profondément dégoutté.
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L’originalité du parti Union Montréal
La journaliste Sophie-Hélène Lebeuf (SRC) nous a fait découvrir aujourd’hui une petite anecdote. En effet, le logo de la SRC a été copié par une entreprise dentaire du Pérou. Or, parlant de logo copié, ceci m’a rappelé qu’en décembre dernier, lors de mon dernier passage à Lyon, j’avais été frappé par la ressemblance du logo d’une compagnie de linge sportif… et celui qui avait été utilisé par l’UCIM à la dernière élection municipale. Effectivement, vous rappelez-vous de cet horrible slogan débilitant : <GO Montréal>?
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Du fin fond de la blogosphère, le lointain cri d’un dinosaure
Depuis le lancement de mon blogue en mai 2006, j’avais évité de commenter sur d’autres blogues. En effet, étant polyvalent dans les sujets de mes articles ici, je ne veux pas corrompre la sérénité de mon blogue en important diverses polémiques inhérentes au monde politique… car il est vrai, j’ai cette prédisposition à pouvoir vraiment m’engager quand je décide de débattre. D’autre part, par la longueur de mes analyses sociétales, je tente aussi de protéger mon travail dans une certaine bulle intellectuelle (voire intemporelle). Ainsi, parce que je priorise la production de textes réfléchis, mon rythme de rédaction est relativement lent… or répondre incessamment à d’éventuels commentaires émanant de mes détracteurs politiques ralentirait mon processus de travail. Si bien que, vous aurez remarqué, j’ai la pédale douce dans le rythme de réponses à mes commentaires ici.
Cependant, l’affaire Élodie aura amené mon petit navire à prendre les devants vers une tempête blogosphérique. Des fois, il faut trouver le courage d’assumer ses opinions pour pousser davantage une certaine vision des choses. Or, vous l’aurez constaté, j’ai à cœur le développement de notre blogosphère, et pour redonner l’initiative du sujet aux souverainistes, j’étais prêt à confronter quelques requins traînant dans ce vaste océan du cyberespace. Si bien que mon dernier texte a trouvé écho jusqu’au fin fond de la droite profonde. En effet, un drôle d’oiseau m’a gratifié samedi d’une réaction personnalisée sur son blogue. Alors, puisque la coutume est de porter attention à ceux qui réagissent à nos propos, je vais me prêter au jeu de lui répondre.
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La blogosphère québécoise malmenée… pour en finir avec Élodie
« Élodie Gagnon-Martin » persiste et signe… elle existe. Du moins, virtuellement, car elle ne se trouve pas sur la liste électorale du DGEQ. Bien que j’admette qu’il soit frustrant qu’un malhonnête prête-nom puisse vomir son fiel politique en toute impunité (pour l’instant), le réel débat ne porte pas ici sur l’identité d’EGM, mais bien sur un minimum de règles que la blogosphère doit se doter pour évoluer (en tant qu’outil démocratique). Formellement, cette situation est exemplaire du glissement que peut prendre une société dans un environnement anarchique (certains fillionistes appellent cela la liberté… de mentir délibérément). Si bien que dans l’existence du blogue EGM, nous devons discerner un avertissement ; c’est-à-dire un aperçu de la société de demain si nous n’arrivons pas à encadrer le développement de notre blogosphère. Mais finalement, qui se soucie ici du développement de la blogosphère ? En tout cas, surtout pas la droite politique.
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En dessous du masque d’Élodie Gagnon-Martin : une créature de l’ADQ !?!
Les efforts conjugués des blogueurs souverainistes auront donné un beau fruit ce matin… un fruit que je vous propose de déguster avec un bon café. À lire absolument, donc, aujourd’hui en première page du journal Le Devoir, «Les dessous mystérieux d’un blogue politique».
Élodie Gagnon-Martin… Élodie. Nous nous rappellerons longtemps de ce prénom. Formellement, ce blogue politique (ADQ) aura marqué une étape dans la jeune histoire de la blogosphère québécoise : soit une limite qu’un parti politique peut atteindre afin de promouvoir sa vision partisane.
Formellement, les blogues étant un média en pleine évolution, ils se trouvent présentement dans une zone grise quant à ses limites juridiques de diffusion. En effet, jusqu’où pouvons nous aller dans la blogosphère en termes de liberté d’expression, pouvons-nous vraiment dire impunément ce que l’ont veut (c’est à dire n’importe quoi de façon anonyme).
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La psychologie de la défaite; les chroniques de Top Korner
Hier soir, lors du fameux match du lundi soir dans la NFL, j’ai impuissamment assisté à la défaite des Saints de la Nouvelle-Orléans… mon équipe fétiche au football américain. Or, après avoir été demi-finaliste la saison dernière, les Saints poursuivent un début de saison difficile cette année avec trois défaites en trois rencontres. D’ailleurs, (0-3) c’est exactement aussi le dossier actuel de mon équipe à l’inter-crosse cette saison dans le LICSM. Il faut dire qu’à ce sport, évoluer dans une équipe perdante est pour moi une nouvelle réalité; d’autant plus que l’année dernière, comme les Saints, j’étais dans une équipe qui caracolait en tête du classement. Dur dur donc d’intégrer d’un coup la psychologie de l’équipe perdante; surtout comme çà, dès le début de la saison… surtout quand tu as précédemment frôlé le sacre ultime. Mais bon, dans la moindre expérience, il faut savoir trouver le positif. (suite…)
Le summum du mauvais goût
Une fois n’est pas coutume; simplement un petit billet ici pour vous dévoiler le plus hideux uniforme sportif de tous les temps. Rarement un agencement de couleurs m’aura autant agressé; je suis d’ailleurs toujours sous le choc (j’ai encore les yeux qui me piquent et des nausées à l’estomac). Et détrompez-vous, cette palette de couleurs n’est pas issue d’un désastreux concours de coloriage d’enfants, mais s’avère bel et bien le « nouvel » uniforme des Eagles de Philadelphie au Football américain (NFL). En effet, commémorant leur 75e anniversaire, cette franchise a décidé de sortir des boulles à mites son uniforme « original » de 1933. Sincèrement, même à mon pire ennemi, je ne souhaiterais rien de tel. Attention tout de même, avant de visionner quelconque image de cet antipode du design artistique, prenez garde de ne pas fixer trop longtemps : le nouvel uniforme des Eagles peut provoquer des dommages irréversibles à la rétine de l’œil, voire, des lésions permanentes au cerveau.
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