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Un putain de sale cleb!
Cela pourra peut-être s’apparenter à l’évocation d’un mauvais rêve, mais l’anecdote que je vous raconterai m’est bel et bien arrivée. Effectivement, vendredi dernier, je me suis fait en quelque sorte attaquer, en pleine rue, par un chien… vraisemblablement errant.
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Un spectacle dénommé Delanoë
Voilà, c’est fait, l’apothéose du côté superficiel de mon stage est déjà réalisée. J’ai rencontré le maire de Paris, monsieur Bertrand Delanoë. Ou du moins, je devrais plutôt dire : le maire de Paris est venu, lundi dernier, rencontrer à huis clos les 22 conseillers Verts de sa coalition… et j’avais le privilège d’être des leurs comme observateur. Peu importe le contexte, cette expérience m’est très enrichissante, puisque d’entrée de jeu, elle me permet de mieux comprendre la dynamique du milieu que j’étudie. D’ailleurs, à ma troisième semaine depuis mon entrée à l’Hôtel de Ville seulement, mes perceptions ont déjà drastiquement évolué quant au contexte politique ici; à commencer par l’image que je portais sur le maire Delanoë. Comme quoi, la réalité d’un sujet est souvent loin de l’image perçue, voire carrément dégagée. Comme quoi, il est nécessaire de s’approcher au maximum d’un sujet avant de se permettre un jugement raisonnable. Et encore là, tout est une question de point de vue et de relation… particulièrement en politique. Mais bon, de toute façon, puisqu’en définitive nous nous jugeons tous les uns les autres, je me lance à l’eau sur mes nouvelles perceptions du maire socialiste, Bertrand Delanoë.
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Paris mondain et rencontres potentielles
De par leurs postes d’élus, les conseillers Verts reçoivent beaucoup d’invitations mondaines se déroulant à l’Hôtel de Ville. Or, puisque le temps est précieux pour tous, puisque ces soirées ont toujours une thématique précise qui ne cadre pas nécessairement avec les intérêts de tous, une minorité des conseillers Verts utilisent finalement leurs cartons d’invitations. Ainsi, certains de ceux-ci en arrivent à me refiler leurs invitations, sachant très bien que pour un stagiaire étranger, ce sont des occasions uniques de rencontres qui s’offrent à lui.
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Une histoire au pays des merveilles
Quelques temps après la journée initiale de mon stage, je relirai Delanoë en son royaume, (souvent à La Buvette). Dans cette deuxième lecture, les divers noms mentionnés (la première fois classifiés par des X dans les dossiers de mon cerveau) deviennent tranquillement des personnages que j’arrive à identifier dans les couloirs. Or, cette deuxième lecture sera d’autant plus palpitante… je me sens presque moi-même dans l’histoire.
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Infiltration verte à l’Hôtel de Ville de Paris
J’ai bien hâte de finalement rencontrer Jean-Paul. En effet, celui-ci fut le premier Vert parisien avec lequel je me suis entretenu au téléphone de Montréal… le premier allié de mon projet de stage parisien. Puis, moment tant appréhendé, l’Hôtel de Ville s’impose physiquement devant moi. Je contemple quelques instants l’impressionnant bâtiment. En effet, non seulement sa tonalité architecturale évoque les allures d’un palais de la renaissance, mais sa façade regorge de politiciens statufiés… comme l’heureux présage de rejoindre bientôt une nouvelle histoire. Je prends un long souffle, puis m’engouffre dans l’antre de mon stage.
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D’un destin à l’autre
Ayant dormi tout le dimanche précédent, je suis frais et disposé pour ma rencontre à 14 h avec Jean-Paul Comble à l’Hôtel de Ville. Toutefois, conscient d’être au début d’un périple qui se promet déjà d’être un point tournant de ma vie, j’irai préalablement clore solitairement un chapitre de ma vie passée. Pour ce faire, je bifurquerai au Pont des Arts avant le rendez-vous. Et voilà, retrouvant le banc où j’étais étendu à ses côtés moins de 48 heures auparavant, l’endroit est idéal pour rompre avec l’objet sacré qui me liait à ce chapitre.
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Orly de Jacques Brel (analyse de la chanson)
La semaine dernière, lorsque mon contact visuel se rompit avec Florence à l’embarcadère de l’aéroport; quand elle se retourna en direction de l’au-delà indéfini… une infinie tristesse submergea mon âme. En effet, ces moments spécifiques évoquent assurément la séparation spatio-temporelle; comprendre ici la possibilité malheureuse du deuil de l’amour. D’ailleurs, il suffit de balayer du regard les diverses liaisons se rompent afin de bien discerner l’intensité interpersonnelle se concentrant dans cette zone.
Si bien qu’à ce moment, la chanson Orly de Jacques Brel m’est spontanément venue à l’esprit. Il est vrai que par un devoir académique en théâtre, je m’étais antérieurement arrêté à faire l’analyse de cette chanson. Voici donc l’occasion de vous en faire part.
Analyse de la chanson Orly
Jour 2: Paris (première partie)
Mon sommeil à l’hôtel ne fut pas très long. En effet, nous devions nous réveiller très tôt pour prendre l’autobus réservé à notre escient par l’OFQJ. Celui-ci aura en même temps deux fonctions. La première étant de nous faire visiter Paris, puis, dans un second temps, nous reconduire dans l’une des gares de la capitale française pour entamer la diaspora québécoise en sol européen.
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Mon jour 1 en Europe: Un vrai rêve !
Hé bien, voilà cinq jours que j’ai maintenant mis pied sur le vieux continent, et je ne sais vraiment pas par où commencer tellement ces dernières heures ont intensivement marqué mon être. En effet, il est sûr que je vis à ce jour la plus belle période de ma vie. Déjà que j’aimais la France, maintenant, je suis littéralement amoureux de la ville lumière; et parti ainsi… je suis loin d’être disposé à la quitter. Il est vrai, je dois quand même avouer avoir un magnifique logement à quinze minutes en roller de l’Hôtel de Ville. D’ailleurs, J’ADORE pratiquement mon travail de stage, les françaises que je rencontre sont franchement sympathiques et mon coloc, David, est aussi cultivé que génial à vivre. Bref, je vis un vrai rêve. Alors, comme je vous l’avais promis, je tiens ici à relater les grandes lignes de ma mémorable arrivée à paris.
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Mes coordonnées parisiennes
Bonjour à tous. Je suis à moins de 48 heures d’aller mettre une première fois le pied sur le vieux continent. Bien que je n’ai pas encore de numéro téléphonique à Paris, je vous laisse mon adresse civique au cas ou vous passeriez par la ville lumière. Par ailleurs, veuillez prendre note que mon adresse électronique demeurera effective.
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