Posté le 17 décembre 2025 dans
Avec The Name of the Rose, Jean-Jacques Annaud signe un huis clos médiéval oppressant où l’enquête devient un outil critique contre l’obscurantisme religieux. Porté par un Sean Connery au sommet de sa maturité, le film transforme l’abbaye en véritable personnage principal. Une œuvre qui a bien vieilli et qui interroge encore aujourd’hui le rapport entre savoir, pouvoir et peur.
Lire la suite ...Posté le 19 novembre 2025 dans
Une critique sensible de A Street Cat Named Bob, chronique réelle et touchante sur la lente reconstruction d’un homme en marge. Le film dévoile avec justesse la relation essentielle entre James Bowen et le chat Bob, véritable moteur de sa rédemption. Une œuvre imparfaite mais authentique qui résonne particulièrement auprès des amoureux des chats.
Lire la suite ...Posté le 17 novembre 2025 dans
« F1 » de Joseph Kosinski s’impose comme un drame humain d’une rare intensité, porté par un Brad Pitt exceptionnel et une immersion totale dans les coulisses de la Formule 1. Grâce à la participation du producteur Lewis Hamilton et au tournage sur de véritables circuits, le film atteint un réalisme inégalé. Un récit poignant sur la vulnérabilité, la transmission et la pression écrasante d’un sport où la survie importe parfois plus que la victoire.
Lire la suite ...Posté le 11 juillet 2025 dans
Palme d’or à Cannes et Oscar du meilleur film, Anora arrive avec une attente immense. Mais mérite-t-elle vraiment ce double sacre ? Entre satire sociale, réalisme cru et ironie burlesque, Sean Baker signe un film qui fascine autant qu’il divise.
Lire la suite ...Posté le 14 janvier 2025 dans
Clint Eastwood revient au drame judiciaire avec un film tendu et sobre qui interroge autant la justice que la morale individuelle. Juré n° 2 s’impose comme l’une des belles surprises de l’année et, pour moi, le premier Eastwood vraiment marquant. Découvrez ma critique complète et mon avis (3,5 ★ sur 5)
Lire la suite ...Posté le 2 janvier 2025 dans
Requiem for a Dream” m’a profondément marqué par sa noirceur et son audace visuelle. Ce chef-d’œuvre signé Darren Aronofsky explore les ravages de l’addiction à travers quatre destins brisés, tout en livrant une critique percutante de notre société obsédée par l’apparence et les illusions. Avec son style intense, presque comme un long vidéoclip, et une bande sonore envoûtante, ce film bouleversant est une expérience troublante que je ne peux oublier.
Lire la suite ...Posté le 6 novembre 2024 dans
Dans ma critique d’« Eternal Sunshine of the Spotless Mind », je revisite ce film culte de Michel Gondry et Charlie Kaufman qui explore les thèmes de l’amour, de la mémoire et de l’oubli. Je m’attarde à la narration non linéaire et aux performances remarquables de Jim Carrey et Kate Winslet, dont le personnage de Clémentine semble marqué par un trouble de la personnalité limite. Bien que certains choix musicaux paraissent datés, le film demeure une réflexion captivante sur les relations humaines et l’impact des souvenirs.
Lire la suite ...Posté le 23 octobre 2024 dans
Dans The Substance, je vous emmène dans un univers cinématographique dérangeant et captivant où l’horreur viscérale se mêle à une réflexion profonde sur l’obsession de la jeunesse et de la perfection. À travers les performances audacieuses de Demi Moore et Margaret Qualley, ce film de Coralie Fargeat bouscule les attentes et nous plonge dans une critique acérée de la société moderne, où la quête de l’apparence parfaite mène à l’autodestruction.
Lire la suite ...Posté le 14 octobre 2024 dans
Dans Never Let Go, j’ai été captivé par l’atmosphère visuelle et la tension palpable qu’Alexandre Aja parvient à instaurer. Cependant, le film souffre de longueurs qui diluent l’intrigue, et la bande-son, avec ses passages de flûte maladroits, m’a parfois fait sortir de l’histoire. Entre schizophrénie familiale et horreur psychologique, le film explore des thèmes fascinants, mais peine à pleinement les exploiter, laissant un sentiment d’inachevé. Un film à voir, mais avec des attentes modérées.
Lire la suite ...Posté le 13 avril 2024 dans
Hôtel Silence explore la rencontre entre un homme brisé et un pays en reconstruction. Léa Pool y orchestre une méditation sensible sur la résilience et la solidarité humaine. Une œuvre touchante, parfois opaque, mais toujours habitée par une profonde humanité.
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