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Sphinx d’Abbott : Développement de la fiche wikipédia
Bon, maintenant que je sais créer des fiches sur Wikipédia, j’y ai donc résumé l’essence de mon dernier article, L’environnementale énigme du Sphinx d’Abbott, dans une fiche francophone lui étant dédiée. De la sorte, voilà qui partagera ma conaissance de ce papillon avec le savoir collectif.
Lire, ci-bas, la fiche en question :
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Sphingidae : Développement de la fiche wikipédia
Dans mon dernier article sur le Sphinx d’Abbott, je me suis aperçu que la fiche Wikipédia francophone de la famille des Sphinx (Sphingidae) n’était pas très élaborée. Alors, en recopiant ici le paragraphe sur les Sphinx du livre « Papillons et Chenilles du Québec » de Jean-Paul Laplante, je transmettrai l’information ci-jointe à la fiche Wikipédia du sujet. (D’ailleurs, dans mon blogue, vous pourrez dorénavant remarquer une nouvelle catégorie, soit : dev. Wikipédia. En effet, cette catégorie agira comme un marqueur pour regrouper mes articles ayant servis à l’enrichissement de cette encyclopédie collective).
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L’environnementale énigme du Sphinx d’Abbott
Réflexe de patineur oblige, je suis toujours attentif aux obstacles sur le sol ; qui plus est, cette aptitude est dédoublée par mes sens d’entomologiste à l’affut. Alors, même dans une métropole comme Montréal, je découvre quelquefois des insectes étonnants (mantes religieuses, nèpes, dytiques, chenilles m’étant inconnus). Ainsi donc, revenant de l’épicerie en mai dernier, j’ai discerné le cadavre écrasé d’un Sphinx d’Abbott sur le trottoir. Pour le commun des mortels, la présence de ce papillon à Montréal passera complètement inaperçue; pourtant, chez les initiés, il sera le signe manifeste d’un changement dans notre environnement. Toutefois, avant d’enclencher mes explications sur le sujet, laissez-moi vous raconter la rocambolesque histoire de ma rencontre initiale avec le Sphinx d’Abbott.
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Cheiracanthium mildei : Développement de la fiche wikipédia
Cheiracanthium mildei est une espèce d’araignées aranéomorphes de la famille des Miturgidae. Cette espèce se rencontre en zone holarctique. Cette araignée mesure environ 7 mm de long. Les palpes et les chélicères sont bruns et le corps peut aller du vert pâle au jaune blanchâtre. Elle porte deux rangées horizontales de quatre yeux de même taille. L’abdomen est terminé par des filières coniques, il est légèrement translucide et change de couleur selon la nourriture. Elle ne construit pas de toile et chasse la nuit. Elle aime être dans des espaces serrés, elle se rencontre souvent entre les couvertures d’un lit.
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À Montréal, soyez attentifs à l’araignée jaune « Chiracanthium mildei »
AVIS
Avant d’entamer la lecture de cet ancien article de 2007, veuillez prendre note que ma position a évoluée sur l’araignée Chiracanthium mildei; position que j’ai expliquée en détail trois années plus tard ici.
Probablement en réaction à la propagation virale de cet article, l’Insectarium, qui était à la source de ce billet, a depuis effacée ma référence au fait que C. mildei pouvait créer des nécroses (j’ai toutefois réussi à retrouver la source d’origine via la wayback machine, car, si cette « information » s’avère probablement erronée, je n’ai pas à porter le chapeau de la responsabilité de son origine; je ne suis que celui qui l’a mis en lumière).
Fait intéressant, au moment où j’écrivais ce billet, nous ignorions tous que les punaises étaient de retour à Montréal… de là pourquoi plusieurs internautes se sont arrêtés sur cet article dans leur recherche au sujet des morsures nocturnes. Pour ma part, je laisse actif ce billet à des fins d’archives, car sa popularité me propulsa en première ligne face aux punaises des lits en tant que technicien en gestion parasitaire en 2009. Une expérience qui m’amena politiquement à concocter un plan municipal pour lutter contre les problèmes liés à cet insecte à Montréal… l’une des plus grande réalisation de ma vie.
Bien qu’entomologiste amateur, mon réel intérêt pour les araignées est relativement récent. En effet, contrairement aux insectes, je n’ai jamais éprouvé de plaisir à manipuler les arachnides (probablement une mise en garde inconsciente de notre instinct). Bref, jusqu’à ces derniers jours, je faisais peu de cas des réelles distinctions entre les diverses espèces au Québec. Puis, le mois dernier, mon coloc Oli s’est réveillé avec une rougeur au visage… blessure qu’il a immédiatement mise sur le compte d’une morsure d’araignée. «Bon bon, bon», lui dis-je, encore un autre qui accuse de tous les maux les innocentes petites araignées québécoises. Effectivement, j’avais toujours pourfendu ces allégations de morsures nocturnes par des araignées, hypothèse que je jugeais incohérente (l’araignée chasse de petites proies et n’a aucun intérêt de nous mordre gratuitement), si bien que je plaçais cette idée dans la catégorie des légendes urbaines. Toutefois, puisque la question me travaillait depuis mon enfance, je suis quand même allé vérifier sur l’Internet de quoi il en retournait, en commençant par ici, sur le site Web de l’insectarium de Montréal.
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Le party CouchSurfing du jour de l’an à Paris
C’était la première fois que je célébrais le Nouvel An à l’extérieur du Québec. Or, bien qu’à cet effet, j’avais délibérément choisi mon billet de retour au pays pour le lendemain de l’événement… je craignais toutefois de passer à côté de la fête. Il faut dire que du côté où j’effectuais mon stage à l’Hôtel de Ville, rien n’avait été apparemment organisé pour le passage de l’année. De plus, ayant «bossé» comme des fous pour préparer leurs votes sur le budget lors du dernier conseil de l’année, les Verts eux, sont chacun partis de leur côté après le vote en question (pour la plupart, loin de la capitale française). Et moi-même, d’ailleurs, dans cette fameuse semaine après le dernier conseil de l’année, j’avais quitté Paris sur les chapeaux de roue pour mon petit tour européen.
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Pour en finir avec la confusion sur certains insectes
En effet, l’insecte apparaissant dans la photo surplombant cet article ici « Des chercheurs entraînent des abeilles à renifler des explosifs », eh bien, ce n’est pas une abeille, mais bien un syrphe ; c’est-à-dire une espèce de mouche. Un « bug » donc s’est glissé dans la base d’archive des photos de La Presse… et personne, semble-t-il, ne s’est aperçu ici de la différence entre une abeille et une mouche déguisée en guêpe.
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Un putain de sale cleb!
Cela pourra peut-être s’apparenter à l’évocation d’un mauvais rêve, mais l’anecdote que je vous raconterai m’est bel et bien arrivée. Effectivement, vendredi dernier, je me suis fait en quelque sorte attaquer, en pleine rue, par un chien… vraisemblablement errant.
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Philippe Côté va avoir 30 ans ! Portrait
Au tour de Phil d’aller dans le Carrousel. He oui, c’est vrai, Philippe vit ses dernières heures dans la vingtaine. Heureusement, histoire de dédramatiser le tout, il nous invite à lui tenir compagnie pendant ce passage. Ainsi, il tiendra une petite fête pour l’occasion à son domicile, samedi soir le 27 mai. Voici ci-dessous les coordonnés de l’événement. Oui, oui… vous l’aurez compris, Philipe est programmeur de métier.
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