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Posté le 22 décembre 2024 dans

Gladiator II : Un retour inutile dans l’arène

Gladiator II : Un retour inutile dans l’arène

J’ai regardé Gladiator II, la suite tant attendue du chef-d’œuvre de Ridley Scott, et quelle déception! Entre un scénario artificiel où Lucius devient soudainement le fils de Maximus, des antagonistes caricaturaux, des scènes d’action absurdes avec des requins et un rhinocéros en CGI, et des anachronismes flagrants, ce film trahit l’héritage du premier opus. Malgré la performance remarquable de Denzel Washington, Gladiator II s’effondre. Un retour dans l’arène qui n’aurait jamais dû avoir lieu.

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Posté le 23 novembre 2024 dans

« Slingshot » : une odyssée spatiale aux confins de la psyché humaine

« Slingshot » : une odyssée spatiale aux confins de la psyché humaine

Dans ma critique de Slingshot, je plonge dans ce thriller psychologique et spatial signé Mikael Håfström. Entre tension claustrophobe et introspection, le film explore les limites de l’esprit humain face à l’isolement et aux choix discutables d’une mission vers Titan. Si les performances et l’esthétique fascinent, le scénario souffre d’incohérences qui affaiblissent l’immersion. Découvrez pourquoi cette odyssée ambitieuse intrigue, malgré ses défauts, dans ma critique complète.

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Posté le 20 novembre 2024 dans

Smile 2 : Du sourire à la grimace

Smile 2 : Du sourire à la grimace

J’avais de grands espoirs pour ‘Smile 2’, mais cette suite déçoit en s’enlisant dans des clichés horrifiques et des facilités scénaristiques. Malgré quelques bonnes idées visuelles, le film manque de l’originalité et du punch qui avaient fait la force du premier opus, le laissant sans émotion ni frissons véritables. Bref, un sourire bien trop forcé qui ne m’a pas convaincu.

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Posté le 10 novembre 2024 dans

Au cœur des tornades : Twisters revient en force

Au cœur des tornades : Twisters revient en force

Dans cette critique, je reviens sur le film Twisters (2024), une réinterprétation moderne du classique des années 90. Entre scènes d’action spectaculaires et profondeur émotionnelle, le film se distingue par son exploration nuancée des relations humaines. La dynamique complexe entre les trois personnages principaux apporte une touche d’authenticité rare dans les blockbusters. Malgré quelques clichés, Twisters parvient à captiver en combinant spectacle, humanité, et une pointe de nostalgie.

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Posté le 1 novembre 2024 dans

Entre fiction et réalité : Civil War, miroir d’une Amérique en crise

Entre fiction et réalité : Civil War, miroir d’une Amérique en crise

Dans Civil War, Alex Garland dépeint une Amérique dystopique déchirée par la guerre civile, suivant un groupe de journalistes qui traversent le pays pour interviewer un président retranché. Bien que le film reflète habilement les fractures idéologiques et les peurs d’une société polarisée, il pèche par une représentation caricaturale des journalistes de guerre et manque de nuances dans son message politique. Entre satire et thriller, Civil War s’adresse plus aux émotions qu’à une analyse profonde, justifiant ma note de 3 sur 5.

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Posté le 26 octobre 2024 dans

Quand Transformers se transforme enfin : Une franchise au sommet de son art

Quand Transformers se transforme enfin : Une franchise au sommet de son art

Dans Transformers One (2024), je découvre un tournant captivant pour la franchise : le film abandonne la superficialité des adaptations précédentes pour se concentrer sur une narration bien construite et un visuel époustouflant, digne de l’univers Cybertron. Le réalisateur explore les origines profondes de personnages emblématiques, comme Orion Pax et D-16, autrefois amis, avant de devenir les légendaires Optimus Prime et Megatron. Ce reboot intelligent et immersif redéfinit l’essence de Transformers avec une ampleur inédite et magistrale.

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Posté le 23 octobre 2024 dans

The Substance : L’obsession de la perfection à son paroxysme

The Substance : L’obsession de la perfection à son paroxysme

Dans The Substance, je vous emmène dans un univers cinématographique dérangeant et captivant où l’horreur viscérale se mêle à une réflexion profonde sur l’obsession de la jeunesse et de la perfection. À travers les performances audacieuses de Demi Moore et Margaret Qualley, ce film de Coralie Fargeat bouscule les attentes et nous plonge dans une critique acérée de la société moderne, où la quête de l’apparence parfaite mène à l’autodestruction.

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Posté le 16 octobre 2024 dans

Alien Romulus : Une suite sans âme pour une génération grand public

Alien Romulus : Une suite sans âme pour une génération grand public

Dans Alien: Romulus, je retrouve une franchise qui m’a marqué, mais qui s’égare dans un excès de fan service et d’artifices commerciaux. Si le film brille techniquement et réussit à créer une atmosphère immersive au départ, il finit par perdre son âme dans des rebondissements exagérés et des personnages clichés. Au final, ce reboot semble plus destiné à une nouvelle génération grand public qu’à rendre un véritable hommage à l’héritage de la saga.

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Posté le 14 octobre 2024 dans

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Entre réalité et illusion, Never Let Go s’égare dans ses propres longueurs

Dans Never Let Go, j’ai été captivé par l’atmosphère visuelle et la tension palpable qu’Alexandre Aja parvient à instaurer. Cependant, le film souffre de longueurs qui diluent l’intrigue, et la bande-son, avec ses passages de flûte maladroits, m’a parfois fait sortir de l’histoire. Entre schizophrénie familiale et horreur psychologique, le film explore des thèmes fascinants, mais peine à pleinement les exploiter, laissant un sentiment d’inachevé. Un film à voir, mais avec des attentes modérées.

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Posté le 11 octobre 2024 dans

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

Beetlejuice Beetlejuice : un retour qui aurait dû rester dans les années 80

J’ai toujours été sceptique vis-à-vis des films de Tim Burton, et « Beetlejuice Beetlejuice » n’a pas échappé à la règle. Ce retour tant attendu de l’iconique fantôme m’a laissé perplexe, avec un scénario embrouillé et une nostalgie qui peine à masquer la perte d’originalité de l’univers. Ce film me fait remettre en question si l’univers de Beetlejuice n’était pas simplement mieux ancré dans les années 80, une époque où son charme excentrique avait tout son sens.

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