Pour en finir avec la confusion sur certains insectes
En effet, l’insecte apparaissant dans la photo surplombant cet article ici « Des chercheurs entraînent des abeilles à renifler des explosifs », eh bien, ce n’est pas une abeille, mais bien un syrphe ; c’est-à-dire une espèce de mouche. Un « bug » donc s’est glissé dans la base d’archive des photos de La Presse… et personne, semble-t-il, ne s’est aperçu ici de la différence entre une abeille et une mouche déguisée en guêpe.
Voilà donc une occasion ici, d’entamer un sujet qui me passionne depuis mon enfance, et, par le fait même, de clarifier des confusions récurrentes à propos de certains insectes communs. En effet, faites-vous la différence entre l’abeille, le bourdon, la guêpe, le frelon, le taon et le syrphe ? Peu importe, vous la ferez peut-être après avoir lu cet article.
L’abeille, le bourdon la guêpe et le frelon font partie du même groupe d’insectes, soit l’ordre des hyménoptères. Cet ordre comprend d’ailleurs aussi les fourmis ; et je l’admets ici, les hyménoptères sont les insectes qui me fascinent le plus. D’un autre côté, le taon et le syrphe sont des espèces de mouches, et donc, d’un tout autre ordre, soit celui des diptères. Les diptères sont caractérisés par la possession d’une seule paire d’ailes et cet ordre contient aussi les moucherons et les moustiques. Regardons-y de plus près.
L’abeille domestique est un insecte au corps velu et sa taille est peu apparente, il est l’insecte producteur de miel. Pollinisateur par excellence en transportant le pollen des fleurs sur laquelle elle s’arrête, plusieurs agriculteurs achètent des ruches que pour cette fonction. Bien que munie d’un dard, l’abeille domestique est un insecte apprivoisé et docile, d’autant plus que celle-ci meurt en cas d’utilisation de son dard, elle ne peut donc piquer qu’une seule fois (à ce jour, je n’ai jamais été témoin d’une piqûre d’abeille). Les abeilles adultes se nourrissent de nectar, de miel et de pollen, ce qui en fait un insecte strictement végétarien.
Le bourdon, lui, se distingue en particulier de l’abeilles domestiques par sa taille plus imposante et par la forme massive de son corps. Celui-ci est très poilu et semble couvert de velours noir et jaune, parfois orangé. Son bruit spécifique lorsqu’il est en vol, le bourdonnement, est très impressionnant; d’ailleurs, c’est l’insecte que certains appellent à tort, le taon. Autre confusion populaire, à cause de leur nom, le bourdon est souvent considéré comme le mâle de l’abeille domestique : c’est-à-dire le faux-bourdon. Les faux-bourdons, véritables abeilles domestiques mâles, sont plus petits que les bourdons et ne butinent jamais. Le bourdon est tout aussi docile que l’abeille (vous pouvez les flatter lorsque ceux-ci sont occupés à butiner), mais il n’est pas élevé par les apiculteurs du fait de sa mièvre production de miel. Contrairement à l’abeille domestique, les bourdons ne meurent pas après avoir piqué.
Les guêpes sociales semblent ne pas avoir de poils ; elles ressemblent à de grosses fourmis colorées portant des ailes. Leur corps allongé est souvent rayé noir et jaune ; cet ensemble de couleur est un signe d’avertissement universel dans la nature.
En effet, la guêpe sociale, c’est l’insecte guerrier par excellence. Organisée en groupe, virtuose du vol, équipée de fortes mandibules et piquant à volonté (elles peuvent darder leur aiguillon sur une même victime une dizaine de fois en une minute), la guêpe est décidément un insecte fait pour le combat. De nature agressive, les guêpes sociales défendent activement leur colonie, et le fait qu’un nid soit dérangé, accidentellement ou non, peut provoquer une attaque massive. Prédatrices, elles chassent divers insectes pour ses larves carnivores dans sa colonie. Très friande des nectars sucrés, elle est individuellement aussi en constante quête de savoureux butin. De la sorte, n’hésitant pas à explorer de nouvelles odeurs, c’est un insecte particulièrement curieux qui interagit fortement avec son environnement. Or, par le fait même, la guêpe arrive à souvent empiéter sur le territoire des humains. Décidément sans complexe, elle n’hésitera pas à s’aventurer dans votre assiette pour y chaparder, sans retenue, quelques morceaux, voire, de carrément s’engouffrer dans votre verre pour y boire dedans.
- Pour éviter les piqûres de guêpes, restez calme, ne faites pas de mouvements brusques et ne gesticulez pas inutilement. Evidemment, il est fortement conseillé de ne pas s’approcher d’un guêpier, surtout à la fin de l’été lorsque ceux-ci sont à l’apogée de leur population.
Le frelon (hornet en anglais, le nom des avions de chasse F-18 canadien), c’est en fait une espèce de guêpe… mais de taille trois fois plus importante; c’est donc la plus grosse des espèces de guêpes. Ça, c’est exactement le genre de « bebite » que vous ne voulez pas rencontrer. Mais ne vous en faites pas, ils ne sont pas (encore arrivés) au Québec.
Le taon, (on prononce /ton/) c’est le vrai nom de « l’asti » de mouche à chevreuil ; vous savez, ces « agréables » insectes vous tourbillonnant autour dans l’espoir de subtiliser un lambeau de chair. Pour sa défense, de plus proche, c’est une très belle mouche à regarder ; ses yeux étant toujours d’une unique coloration psychédélique. Ah oui, je me fais un point d’honneur de ne jamais m’être fait mordre par un taon ; l’insecte n’étant vraisemblablement pas subtil dans sa démarche. (Il faut bien dire mordre et non piqué, en effet, dans le cas du taon, seule la femelle subtilise de la chaire de mammifère pour nourrir sa progéniture).
Et finalement… le syrphe ; probablement le plus méconnu des six insectes mentionnés dans mon article (D’ailleurs, grâce à l’Internet, je viens tout juste d’apprendre le vrai nom de ce magnifique insecte. En effet, fautes de renseignement, j’avais baptisé celui-ci «mouche à fleurs»). Ce diptère, totalement inoffensif, imite les patrons de coloration de certaines guêpes ; un procédé qui protège le syrphe de ses prédateurs évitant les hyménoptères piqueurs. Ce mimétisme, dit « batésien » (du nom du naturaliste anglais Henry Walter Bates qui fut le premier à en formuler le principe au XIXe siècle), est le phénomène par lequel une espèce inoffensive se protège par imitation d’une espèce inconsommable ou dangereuse.
Exemple québécois : Le papillon vice-roi est protégé de ses prédateurs par sa ressemblance avec le papillon monarque qui, lui, n’est pas consommable. Les chenilles de monarque se nourrissent en effet de l’asclépiade (Asclepias curassavica), une plante à la sève blanchâtre dès plus toxiques. Donc, un oiseau mangeant un monarque toxique est prit de vomissements et apprend ainsi à éviter les papillons de ce type. Si bien que comestible, le Vice-roy est protégé de la gourmandise des oiseaux par sa similitude avec son homologue toxique. A noter, la chenille du Vice-roy est diamétralement différente de celle du monarque.
Le syrphe est un insecte utile qui rend bien des services dans nos jardins. Les adultes se nourrissent de pollen et de nectar, ils contribuent ainsi à la pollinisation. Mais aussi, ses larves sont aphidiphages (elles se nourrissent de pucerons, et peuvent ainsi chacune, dans une vie, dévorer de 400 à 700 pucerons). Cet insecte a donc toutes les faveurs du jardinier, or l’introduction de syrphe dans un jardin est une bonne alternative aux produits chimiques.
D’autre part, étant à mes yeux la seule mouche sympathique, le syrphe est un insecte discret, voire agréable à côtoyer. En effet, peut-être du fait de sa coloration le mettant en confiance, cet invétéré des jardins n’est pas du tout farouche ; et se laisse même facilement approcher à qui sait le remarquer. Butineur de fleurs, il peut quelquefois aussi s’intéresser aux sécrétions issues de notre peau. Totalement silencieuse, cette mouche se caractérise aussi par un vol aussi subtil que gracieux. En effet, comme un véritable colibri des airs, cet insecte maîtrise à la perfection le vol stationnaire, et peut se déplacer à l’aide d’une accélération foudroyante (fréquence des battements d’ailes : 300Hz ; 14 fois l’accélération de la pesanteur terrestre!). Le ballet aérien d’un syrphe autour des fleurs qu’il chérie est un réel spectacle, d’autant plus que l’acteur concerné interagit avec la présence de l’observateur humain. D’ailleurs, j’avouerai même éprouver quelquefois un sentiment de vide après le départ d’un syrphe auquel je me suis habitué à la présence. En effet, lorsque celui-ci décide de quitter les lieux, il le fait toujours précipitamment ; une énergie contrastant avec le vol flegmatique qui le caractérise quand son attention est captivée.
Pour ma part, le syrphe est même l’un de mes vieux complices. En effet, dans ma jeunesse, dans les camps d’étés, celui-ci me fit souvent gagner des paris : je me prétendait capable d’attraper les «abeilles» sans me faire piquer. À tout coup, le manège fonctionnait. Mais il est vrai toutefois que j’ai cet art de pouvoir approcher les syrphes ; il va sans dire, j’ai bien étudié le comportement de l’insecte en question.
Ah petit syrphe, symbole d’allégresse et de sérénité… mon agréable compagnon d’été ! Encore une fois, bravo, tu as bien roulé les humains. Mais franchement, tu mérites mieux que de te faire qualifier d’abeille, d’autant plus que tu tentes de te faire passer pour une guêpe. Toi, qui par tes visites ensoleillées me remémore invariablement mes souvenirs d’enfances (mon chalet à Saint-Donat), permet moi ici de te dévoiler à ta juste valeur. Tu vaux tellement plus qu’une guêpe… mon fidèle ami !
L’habit ne fait pas le moine
Bonjour, Affolés nous venons d’écraser cette « bébette » de la taille d’une belle guêpe … Pourriez-vous nous aider à l’identifier ?
En vous remerciant, S&G
c’est un capricorne du du genre Clytus.
Où l’avez-vous trouvé ?
Super. Merci beaucoup pour ce très bel article.
Merci, pour cet article intéressant, je n’ai jamais vu de syrphe, peut-être un jour.
bonjour,un mouche jaunne a piquer mon fils sur son visage li a fait un tache noir ,s »il vous plait je peut savoir pourquoi
Bonjour, la semaine derniere je parlais avec ma voisine et j ai comme vue un genre d abeille mais la queue etait ligne en vnir et blanc….es-ce qu il y a quelqu un qui peut m aider.merci
très joli ton article sur le syrphe. avant de connaitre son nom par ton blog , je l’appelai mouche gentille et je l’adore .et c’est vrai qu’il y a beaucoup d’ignorants pour ce qui est des insectes.
comment me débarrasser d’un nid de guêpe sans vraiment savoir ou il se trouve.
En fait je voyais entrer des guêpes dans un joint de brique en dessous de la fenetre du 2 ième étage et comme je l’ai bouché avant de lire sur le sujet.
Les guêpes ont donc chercher une sortie dans la piece au premier étage en bas vis à vis des trous dans les briques que j’ai bouché et comme j.ai mis du raid dans les trous de telephone et calorifère elle s’en vont dans une autre piece à coté qui est l’entrée pour monter au deuxieme étage toujours de l’intérieur
Elles ne sont pas très agressives je les sors de la maison sans les tuer.
si je met de la mousse dans le mur à l’endroit ou j’ai bouché les trous la premiere fois
vont-elles être toutes éliminer et comme j’ai lu j’ai repercé les trous que j’avais bouchés mais ells ne semble plus s’en servir.
J’ai lu qu’au printemps ells se refont un nid ailleurs. Je ne sais pas si elles s’installait pour l’hiver ou si le nid avait passé l’été à cet endroit.
Pouvez vous me dire votre avis car un exterminateur c’est cher et est-ce vraiment nécessaire. Évidemment j’ai eu une piqure mais je dormais et comme la piece du bas était ma chambre je ne sais pourquoi elle m’a piqué ce que j’ai lu parfum transpiration mais je me suis reveille. Une enflure au bras mais rien de grave maintenant je sais que ne he suis pas allergique.
Donc si elles ressortent au printemps pour s’installer ailleurs comme c’est dit dans vos articles elles ne refont jamais un nid à la meme place.
Donnez moi vos conseils PS/ ce sont vraiment des guêpes d’apres les photos j’en ai mis une dans un bocal. Elles ressemblent à l’abeille mais pas velu et élancé
Bonjour Carl,
Merci pour tous ces merveilleux renseignements. Je tâcherai d’avoir un regard attentif sur la petite syrphe que j’ai apperçu quelques fois dans la serre. Il y a surtout des bourdons et on partage les lieux sans problème. Mais voilà, je suis un peu éprouvée cette année, pour la première fois de ma vie j’ai été piqué violamment à trois reprise, une fois dans mon verger, le guêpier est dans le verger sous mon cerisier !!! Une seconde fois en désherbant une plate-bande chez une amie et une dernière fois (j’espère) dans la serre et chaque fois j’ai eu une joyeuse enflure assez douloureuse. Je ne suis pas retournée à mon verger, je me suis gardé une petite gêne !!! Je suis en questionnement, si je les élimine (fait éléiminer), je tue une grosse colonie d’insectes somme toute utiles et il est possible qu’il s’instale une autre colonie un peu plus loin dans le verger et, si je les laisse vivre, je crois que je n’yrai plus au verger. J’ai penser faire une clôture autour du cerisier, pour ne plus mettre le pied dessus, ainsi puisque les guêpes sont territoriales, il ne devrait y avoir d’autre nid dans mon carré de 30m X 20m enfin j’espère. Mon voisin m’a donné un insecticides à « shouter » sur le nid, mais je ne suis plus certaine de ce que je veux faire. Vivre et laisser vivre… et peut-être en mourir !!! :o).
P.S. Je me suis acheté un Epipen.
Merci à vous
Petite précision, la photo présentant une guêpe est fausse. Il s’agit en faite d’un Poliste (surement Poliste gaulois à cause des antennes orangées).
Les polistes font partie de la super famille des Vespoides, famille où l’on retrouve les guêpes, frelons mais aussi bien d’autre familles différentes. Les polistes sont donc des « cousins » des guêpes mais il y a bien une différence facile à observer : chez les guêpes l’avant de l’abdomène est « tronqué » (comme chez les frelons, c’est d’ailleurs bien visible sur la photo du frelon mangeant la mente religieuse) alors que chez les polistes l’avant de l’abdomène est dans la continuité et bien profilé (ce que l’on voit votre photo de « guêpe » qui est donc bien un poliste).
Il me semble que pour un article de vulgarisation il est important de ne pas faire ce genre d’erreur!
je vien de re metre sa car la guepe comme sa elle ete chez moi hier ?Le frelon (hornet en anglais, le nom des avions de chasse F-18 canadien), c’est en fait une espèce de guêpe… mais de taille trois fois plus importante; c’est donc la plus grosse des espèces de guêpes. Ça, c’est exactement le genre de « bebite » que vous ne voulez pas rencontrer. Mais ne vous en faites pas, je ne pense pas en avoir vu au Québec.
Enfin j’ai trouvé la différence entre ces insectes qui font peur, au printemps et même l’été !!!!!! Merci Carl
Bonjour, je trouve tous vos articles à saveur entomologique trés intéressant . J’aimerais par contre préciser qu’il y a bel bien des frelons ici au Québec .J’habite la region de Bellechasse au sud de la ville de Québec et chaque étés ,il m’est possible d’observer de gros frelons d’environ 4-5 cm.J’ai posté un photo de ma découverte sur le net au début des années 2000 et est reçu un identification positive pour le frelon des repondants qui me semblait connaitre bien leur matières .Je vais essayer de capturer le prochain que je vais et t’envoyer un photo que tu pourras partager avec tes lecteurs
Sincères salutations
Yanick
Bonjour, je signale moi aussi une erreur, de prononciation, celle-ci : le taon se prononce tan et non pas ton; le Larousse vous le signalera.
Sinon, bel article, merci de vous intéresser à ce monde peu connu et peu aimé, monde merveilleux de précision, d’inventivité et de beauté, monde des insectes.
Très intéressant à lire ! Ces petites créatures sont tout aussi drôles, que terrifiantes, ou même intéressante, complexe…
Une petite anecdote avec une mouche qui s’était posée sur ma table alors que je mangeais un croc-monsieur, elle léchait la table et en se déplaçant me tourna le dos si je puis dire. J’ai délicatement approché mon doigt pour la pousser doucement, elle s’est alors mise à sautiller sur place en faisant demi tour d’un air de dire « Non mais y’a quelqu’un devant vous! » avant de s’envoler en voyant ma main. Ca m’avait bien fait rire.
Bonjour
Bel article, mais la photo de la « guêpe » est une photo de … poliste ! Même famille, mais assurément pas le même genre, vous dénoncez un travers chez les autres et vous faites la même erreur, ça fait sourire.
magnifique article.
J’ai beau être de la campagne je ne connaissais pas la syrphe. Il ne doit pas en avoir chez nous.
Par contre, on a un bourdon avec un corps d’abeille et une crinière de lion. C’est très beau.
Bonjour Tavernier. Je suis allée voir sur votre site la photo de cette grosse abeille que vous évoquez ; ne serait-ce pas le xylocope -ou abeille charpentière ?
Bonjour, en ce moment il y a des « abeilles » noires dans mes jardins, je n’avais jamais vue cette race d’abeille auparavant, je dis abeilles car elles butinent les fleurs, je vais essayer de vous mettre une photo, sinon envoyer moi un mail privé et je vous recontacterai pour vous envoyer une photo de cette abeille noire qui a une taille 4 à 5 fois plus grosse que l’abeille commune. Je me demande si cette abeille vie ailleurs que dans les PO. sinon allez sur mon site je vais mettre un article ABEILLE et peut être pourrez vous me renseigner. Merci
Si vous emprisonnez sur une longue tige de lavande un bourdon délicatement entre les deux paumes de vos mains celà formant comme une cage, M ou F il ne pique pas, peut être parce qu’on ne le serre pas entre ses doigts? Par contre ça bourdonne!!!!! Et hop on le relâche!
bonjour!
depuis très longtemps je m’intéresse aux abeilles ( j’ai eu jusqu’à quatre ruches), mon fils toubib m’a obligé à abandonner car traitement pour le coeur.
Bien sûr je faisais le malin avec les faux bourdons que je déposais dans ma bouche devant les enfants curieux….Sur les longues tiges de lavande, j’emprisonnais aussi ces sympathiques bourdons dans la cage de mes deux mains….et je faisais écouter leur mécontentement….jamais ils m’ont piqué….il y avaient certainememt dans le lot des femelles….mais comme je ne les saisissais pas entre mes doigts, c’est p
ravie !! j’ai trouvé ce que je cherchais !!! manque juste une photo de bourdon noir ou abeille charpentière .
Attentive admiratrice des insectes que je suis, je vous remercie pour votre article qui fut très intéressant à lire 🙂
Très bel article ! Je vous avoue, je suis moi-même un inconditionnel des syrphes, et aujourd’hui même, j’ai vécu un moment d’adoration quand l’une s’est posée sur ma main, me laissant le loisir de détailler tous ses atouts… Je ne rigole pas, c’était vraiment un moment à part !! Et je suis aussi vraiment un inconditionnel !
Si je suis arrivé sur votre site, c’était en fait pour vous… en fait j’ai chopé vos deux photos de syrphes pour illustrer ma page de blog où je parle de mon expérience d’aujourd’hui ! C’est vraiment cette espèce ou une très proche que j’ai vue…
J’espère que vous m’excuserez, j’ai mis un lien pour votre site dans l’article que j’ai fait… c’est un article en breton.
Patrick Dréan| lire ici le dernier article de son blogue: Adoriñ
Wow, ça c’était vraiment intéressant à lire!
Je garde ça dans mes favoris, question de pouvoir le relire et mieux le maîtriser. 🙂
Noisette Sociale| lire ici le dernier article de son blogue: Le blogue comme outil social
Je ne compte plus le nombre d’années depuis lesquelles je présente cet article à mes classes de maternelle. Merci infiniment!