« 37°2 le matin » : L’esthétique d’une passion destructrice
Dans « 37°2 le matin », Jean-Jacques Beineix explore avec brio l’intensité de l’amour fou à travers Betty et Zorg, deux âmes en quête de liberté dans une société rigide. Entre esthétisme flamboyant, musique envoûtante et portrait psychologique saisissant, ce film culte des années 80 m’a marqué par sa profondeur et ses limites. À travers cette critique, je revisite cette œuvre poignante et questionne ses représentations, tout en célébrant son impact intemporel.
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